• William Morgan, un martyr anti-maçonnique

    Assassiné le 13 septembre 1826

     

     

     

    William Morgan était un journaliste de New-York. Il faisait partie de la Loge La Branche d’Olivier, établie à Batavia, comté de Genesee. Un jour, Morgan, se retirant de la société, publia à New-York même, sous le titre Free-masonry exposed and explained, un livre dans lequel il révélait les secrets de la mystérieuse institution et reproduisit tous les rituels maçonniques.

    Il n’y avait pas grand mal à cela, allez-vous me dire. C’est possible ; mais la Franc-Maçonnerie ne l’entendait pas ainsi.

    Les chefs de la Maçonnerie américaine se réunirent, et la mort de William Morgan fut décidée.

    Seulement, on avait affaire à un homme qui se tenait sur ses gardes ; il s’agissait de s’emparer de lui adroitement et de la faire disparaître sans esclandre. Voici comment le coup fut exécuté :

    Un maître d’hôtel, nommé Kinsley, prétendit tout à coup que Morgan lui avait dérobé du linge et des bijoux ; Morgan fut arrêté à Canandaigua. L’accusation était bête, absurde ; aucune preuve ne put être fournie contre le journaliste ; il fut donc bientôt relâché.

    Mais Morgan, pendant sa détention, s’était dit :

    « Mes anciens collègues tiennent à me faire incarcérer, et, quand je serai en prison, n’ayant pas le choix de mes aliments, on me glissera quelques mets empoisonné.

    Cependant, le livre de l’ex-franc-maçon causait grand tapage aux Etats-Unis. De nombreuses personnes vinrent féliciter Morgan de sa conduite. Il eut des admirateurs, mêmes enthousiastes. Ainsi, il se créa plusieurs relations, notamment avec un certain Loton Lawson, qui devint son ami ; c’était un homme de bonnes manières, qui paraissait jouir de quelque fortune et se montrait, dans ses discours, très opposé à la Franc-Maçonnerie.

    Morgan, Néanmoins, se tenait réservé envers ses nouvelles connaissances, attendant que l’occasion lui permît d’éprouver ses vrais amis.

    Un beau jour, un individu présenta aux magistrats du comté de Genesee divers titres de créance, - faux, sans doute, - achetés, si par hasard ils étaient vrais, - et requit l’incarcération de Morgan comme son débiteur. A cette époque, la prison pour dettes existait encore.

    Morgan fut donc de nouveau emprisonné.

    « Allons ! disait-il à ceux de ses amis qui obtenaient la permission de le visiter ; décidément, c’est en prison que les Loges me feront mon affaire ! »

    Comme il n’était pas riche, le pauvre garçon se désespérait. Il se défiait de tout aliment qui lui était présenté. Il était convaincu qu’il lui fallait sortir de là au plus tôt, sauf à discuter, une fois libre, la validité de la mesure prise contre lui. Mais qui serait assez dévoué pour lui servir de caution ?

    Loto Lawson lui offrit ses bons offices. Morgan accepta, on comprend avec quelle joie ; Lawson, pour lui, était un sauveur !

    Le lendemain de son offre généreuse, Loto Lawson revenait à la maison d’arrêt avec une voiture et quelques camarades, payait la somme pour laquelle Morgan était retenu, et celui-ci, se jetant au cou de l’excellent homme, consentait à ce que Lawson l’emmenât dans une de ses campagnes, pour être désormais à l’abri de ses persécuteurs.

    La voiture partit dans la direction de Rochester, et, depuis, on ne revit jamais plus ni William Morgan ni Loton Lawson.

    Cet enlèvement produisit une profonde sensation dans toute l’étendue des Etats-Unis. Beaucoup de personnes se dirent que la fameuse société le prenait trop à son aise, car ce fut à elle que la voix publique attribua la disparition de Morgan. Une certaine Ligue Anti-Maçonnique se constitua même pour aider les magistrats dans leurs recherches. Cette ligue n’avait pas tout à fait tort de vouloir se mêler de l’enquête. Il fut, en effet, démontré plus tard que les fonctionnaires de l’endroit ne déployaient pas un bien grand zèle dans l’instruction de l’affaire. Ces fonctionnaires avaient, du reste, une excellente raison pour penser que Morgan avait été justement châtié de son indiscrétion : Clinton, le gouverneur de l’Etat de New-York, et tous les magistrats du comté de Genesee étaient francs-maçons.

    Bon gré, mal gré, pourtant, les autorités ne purent se dispenser de déclarer qu’une enquête était ouverte.

    Un témoin se présenta, Edouard Giddins, garde-magasin du Fort-Niagara. Ce témoin avait vu, dans la nuit du 13 septembre 1826, une troupe d’individus conduisant un homme étroitement lié avec des cordes et dont la bouche était couverte d’un mouchoir fortement serré. Le signalement de cet homme se rapportait exactement à celui de Morgan ; les gens qui conduisaient le malheureux l’accusaient de trahison, l’insultaient et le maltraitaient. Giddins les entendit parler d’un jugement qui devait être exécuté dans des formes solennelles. Finalement, les inconnus enfermèrent leur prisonnier dans une maison isolée, située près du lac Ontario, à peu de distance du Fort-Niagara.

    Le témoignage de Giddins fut corroboré par celui d’une femme noire : cette femme, étant venue puiser de l’eau tout près de la maison isolée, avait entendu une voix humaine poussant des cris inarticulés ; cette voix sortait précisément de la maison où Giddins avait vu enfermer Morgan.

    Ni l’un ni l’autre de ces témoins n’avaient eu le courage de prévenir les autorités. Giddins avoua qu’il avait cru avoir affaire à une bande de brigands, infligeant un châtiment à l’un des siens, et qu’il avait trouvé dangereux pour lui d’intervenir.

    Ces témoignages étaient bien précis. Les magistrats n’en tinrent pourtant aucun compte. Cependant, l’affaire en valait la peine ; car, il fut établi ensuite que les témoins avaient dit l’exacte vérité et que le malheureux Morgan avait été torturé pendant deux jours et trois nuits.

    Un franc-maçon, de la Loge de Rochester, nommé Henri Brown, qui, dans un moment d’ivresse, avait laissé échapper quelques paroles compromettantes, fut considéré par le public comme un des principaux meurtriers ; les juges ne le firent même pas comparaître devant eux à titre d’information.

    Alors, les citoyens du pays s’indignèrent. On cria au déni de justice. Le crime était indiscutable ; pourquoi les magistrats se renfermaient-ils dans une scandaleuse abstention ? Sur tous les points des Etats-Unis, des meetings s’organisèrent, ce fut un mouvement général. Partout, on déclarait que les Francs-Maçons devaient être exclus de toutes les fonctions civiles et politiques ; des mères jurèrent publiquement de ne jamais consentir à ce que leurs filles épousassent des francs-maçons, et des filles jurèrent, à leur tour, de ne jamais accepter des francs-maçons pour maris. Et l’indignation populaire grondait toujours, s’étendant de province en province.

    Deux ans après l’assassinat de William Morgan, une assemblée solennelle d’anti-maçons se réunit à Leroy, le 4 juillet 1828. Là, cent trois Frères, cédant à un entraînement qui avait bien son mérite, se séparèrent de l’institution maçonnique, et, aux applaudissements d’une foule immense, déclarèrent que l’infortuné Morgan, dans ses révélations, causes de sa mort, n’avait rien publié qui ne fut scrupuleusement vrai.

    Tous ces incidents, comme on pense, n’étaient pas de nature à plaire aux Francs-Maçons. Une société qui répand partout le bruit que, si elle se cache, c’est pour mieux pratiquer la bienfaisance, perd bien vite toute considération, quand il est démontré qu’elle est jalouse de sa modestie au point d’assassiner ceux qui en parlent. Force fut donc aux chefs de l’association de tenter quelques efforts pour paraître étrangers à la disparition de William Morgan.

    Comment se disculper ? Comment se tirer de cette situation fâcheuse ?

    Il ne suffisait pas de se prétendre calomniés. Il fallait au moins apporter quelque indice d’innocence.

    Dans le but de regagner l’estime publique, les Loges furent d’abord publier, dans les journaux dirigés par leurs partisans, une note racontant que Morgan était un mauvais drôle, enclin à l’ivrognerie, et que, s’il était allé du côté du lac Ontario, il s’y était certainement noyé, pris de boisson, dans quelque partie de plaisir.

    Mais les amis de Morgan protestaient. Le journaliste disparu était, au contraire, un homme très sobre.

    Les Francs-Maçons, alors, apportèrent un cadavre, trouvé dans le lac Ontario, et les conditions de cette découverte pouvaient laisser croire à la véracité de leur dire.

    Seulement, la malchance d’en mêla. Le cadavre fut reconnu ; son identité, établie. Ce n’était pas du tout William Morgan, mais un certain Monroë.

    Comment les francs-maçons de New-York s’étaient-ils procuré ce cadavre ? C’est encore ce qu’on ne sut jamais.

    L’incident n’était pas fait pour calmer les esprits. La Ligue Anti-Maçonnique fonctionna pendant plusieurs années ; les Loges, devant l’explosion de l’indignation publique, furent obligées de cesser leurs réunions dans toute l’étendue des Etats-Unis, au Canada et dans les autres colonies anglaises de l’Amérique.

    Un candidat anti-maçon va jusqu’à se présenter aux élections pour le poste de gouverneur général de New-York, en 1830, et peu s’en faut qu’il ne soit élu.

    Entre 1826 et 1846, la Grande Loge de New-York passe de 500 à 65 loges. Jamais la Franc-maçonnerie américaine ne fut soumise à pareille épreuve.

    Toutefois, tout a une fin : peu à peu, la colère populaire s’apaisa.

    Pour en finir, en 1832, les journaux partisans de la Franc-Maçonnerie insinuèrent que Morgan n’était pas mort, que tout le tapage fait autour de son nom était l’œuvre intéressée des ennemis de la société, et que des voyageurs l’avaient rencontré à Smyrne, où il vivait bien tranquillement, enrôlé parmi les disciples de Mahomet. Comme Smyrne, situé en Asie, à l’extrémité de la Méditerranée, est à plusieurs milliers de lieues de New-York, qui est sur les bords de l’Océan Atlantique, la vérification du racontar maçonnique était difficile à faire. L’opinion publique, du reste, était lassée. Ainsi, tout en resta là.

    Et jamais la sépulture de William Morgan n’aurait été découverte, si, en août 1875, un organe indépendant, le New-York Herald, le plus important journal des Etats-Unis, célèbre par ses expéditions d’intérêt public (recherche de Livingstone, voyage au pôle Nord, etc.) ne s’était avisé de réveiller l’affaire.

    Le New-York Herald, donc, réunit tous les documents de l’ancienne enquête, tous les témoignages apportés à l’instruction si mal menée, provoqua de nouvelles instigations, qui furent enfin couronnées de succès. En juillet 1881, la sépulture du malheureux Morgan fut découverte à Pembrocke, dans la province d’Ontario, Haut-Canada. Le crime a été officiellement reconnu. C’étaient les membres de la Loge de Rochester qui avaient assassiné l’indiscret journaliste. Dans la fosse où avait été enterré Morgan, on retrouva quelques débris de papier portant le nom du franc-maçon Henri Brown, celui-là même qui, en 1826, était considéré par l’opinion publique comme un des meurtriers.

    La voix du peule, on le voit, n’avait pas accusé à tort.

    Aujourd’hui, la statue de William Morgan s’élève sur l’une des places publiques de Batavia, Etat de New-York. Elle a été inaugurée solennellement en 1882. Il va sans dire que tous ceux de nos journaux européens qui louangent la Franc-Maçonnerie, se sont bien gardés de rendre compte de cette inauguration.

    Cet assassinat maçonnique est un des évènements  se l’histoire des Etats-Unis ; car il a donné naissance à un parti spécial, l’Anti-Masonic Party, qui a joué, pendant une dizaine d’années, un rôle dans la politique de plusieurs Etats de l’Union. Quincy Adams, le plus honnête homme qui, après Washington, ait occupé la présidence des Etats-Unis, en fut le chef. En 1875, les révélations d’un des complices du crime, au lit de mort, ont achevé de faire entrer l’assassinat de Morgan dans le domaine des faits historiques absolument certains.

    (Voir Letters on Masonic Institution, par John Quincy Adams, président des Etats-Unis d’Amérique, Boston, 1850 ; History of the abduction and murder of captain William Morgan, Chicago, 1881 ; Honor Thurlow weed on the Morgan abduction, Chicago, 1882 ; voir aussi la relation complète dans le New-York Heralddes 9 et 11 août 1875, et le résumé dans le journal français Le Monde du 17 septembre 1875).

     

     

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  • Le 05/02/1987,Michel Baroin,ancien grand maitre du grand orient trouva la mort dans un accident d'avion qui explosa peu après son décollage de Brazzaville au Congo.

    Sa destination finale était de rencontrer Omar Bongo,président du Gabon et Grand maître de la grande loge de France pour tout le Gabon.

    Il devait négocier pour le compte de la garantie mutuelle des fonctionnaires (GMF),dont il était le président, l'achat de 300000 hectares de forêts de bois précieux.Son sous sol était riche en uranium et intéressait la SETIMEG,une filiale de la GMF qui avec ELF gérait les grands projets Gabonais,camouflait les sites d'enrichissement d'uranium et était spécialisée dans les fausses factures.

    Il faut citer aussi un certain STIFANI ,grand maitre de la grande loge de France qui est allé à Libreville au Gabon pour introniser Bongo en franc maçonnerie.

    Cet avocat Niçois faisait le commerce de bois africains.

    Avant d'aller au Gabon,Michel Baroin fit escale au Congo Brazzaville pour rencontrer Denis Sassou Nguesso,grand maitre de la grande loge nationale de France au Congo et président du Congo,un président corrompu qui a accédé au pouvoir par des crimes.

    Au Congo,il y a parait-il une guerre des loges,une rivalité entre frères pour l'achat des armes.La GLNFa la prétention de vouloir devenir la première obédience et de devancer le grand orient

    Après la mort de Michel Baroin,Sassou Nguesso obtint que la dette du Congo pour achat d'armes aux pays de l'Est,soit reéchelonnée..

    Michel Baroin,au nom de la GMF;est à l'origine d'un projet de complexe touristique sur l'Ile de St Martin aux Antilles,dans une zone infestée de moustiques et sans accès à la mer.

    Il mèna la GMF au bord de la faillite.

    L'Ile de st Martin est un repère de mafieux.Michel Baroin prend comme dirigeant de ce projet,un certain Christiaeus,impliqué dans une magouille financière avec l'Israélite Flatto Sharone,franc maçon de la loge "Jérusalem",qui a été mêlé au gang des Lyonnais.

    Michel Baroin avait des amis dans le réseau PASQUA.

    Un certain Léandri,un Corse qui fut un collaborateur des nazis,fut intrroduit à la GMF de Baroin et chez ELF.

    Avec cette opération mafieuse de St Martin,la GMF perce un gouffre financier,par des pots de vin,des avocats véreux des détournements et la SETIMEG empoche des millions..

    Michel Baroin projetait de se présenter aux élections présidentielles de 1988 et possédait un pactole de 50 millions d'euros.

    Baroin a aussi absorbé la Compagnie "la sauvegarde" et a viré tous ses agents.

    Après ceci,il nous a parlé de solidarité dans son livre "la force de l'amour"

    Robert Galley,maire de Troyes , député de l'Aube ministre de la coopération et franc maçon comme tous les ministres de la coopération,fut chargé par de Gaulle de créer la filière nucléaire Française,avec Georges Besse

    Robert Galley fut également le fondateur de l'association ,loi de 1901 "les volontaires du progrès",des jeunes ruraux envoyés en Afrique pour aider au développement rural,pendant que les potentats africains,détournaient l'argent de la France,pour acheter des chateaux en France et planquer leur fric dans les paradis fiscaux où se sont fait sacrer empereur avec l'argent des Français.

    Ces volontaires du progrès n'avaient droit à aucune cotisation retraite et les reclassements à la suite du volontariat étaient inexistants malgré les promesses initiales.

    La société EURODIF,sous la direction de Georges Besse.était spécialisée dans l'enrichissement de l'uranium par diffusion gazeuse

    Chirac et Giscard,signèrent un accord avec le Shah d'Iran et l'Iran prêta de très fortes sommes d'argent à Eurodif.

    Après la révolution islamique de Khomeiny,la France rompt l'accord Eurodif.

    L'Iran réclamait 10% de la production d'uranium enrichi selon les termes du contrat.

    Les mollahs d'Iran organisent alors une série d'attentats et d'enlèvements de journalistes.

    Chirac négocie alors avec l'Iran,mais Michel Baroin manifeste publiquement son hostilité sur les négociations de Chirac.Il s'opposait à Dumas (,le franc maçon magouilleur avec Christiane Deviers Joncourt sa maitresse,pour extorquer de l'argent d'Elf) et Védrine dans la livraison d'uranium à l'Iran.

    Une bombe explose à la FNAC sports, des halles à Paris.Un avertissement

    Michel Baroin président de la GMF a rachété la Fnac (fédération nationale d'achat des cadres Tout le monde voulant accéder à la cadrerie,ces magasins furent vite populaires) fondée par le juif ESSEL et le collaborateur de Trotsky et franc maçon Max THERET

    Michel Baroin a acheté avec l'argent de la GMF une luxueuse demeure appartenant à l'évêché de Tulle et jouxtant le chateau de Bity appartenant à la famille Chirac.Michel Baroin avait fait Sciences Po avec Chirac qui était son ami personnel.

    Cette maison devint un hôtel de luxe et un lieu de passage des grands de ce monde,tels Clinton ou le président communiste de la Chine (Selon Jacques Hillenmeyer,assureur conseil)

    Le franc maçon Petriat,succède à Michel Baroin à la tête de la GMF.Celui-ci est mis en examen pour abus de biens sociaux,les carambouilles continuent.Et la GMF est absorbée par le groupe Azur.

    Georges Besse qui est devenu le PDG de Renault est assassiné..par Action Directe,un mouvement d'extrême gauche,dont les tueurs furent Rouillan et Nathalie Menigon..

    Selon les explications de Rouillan , Georges Besse.. serait responsable du chômage de milliers d'ouvriers.

    Y a-t-il eu connexion entre l'extrême gauche et les mollahs islamiques ? Surprenant ?

    Toujours est-il que le jour même de l'assassinat de Georges Besse,la France rembourse 330 millions de dollars à l'Iran pour sa participation à Eurodif;

    Dans son livre "la force de l'amour",Michel Baroin écrit que sa fille ainée Véronique a été tuée par un chauffard (adhérent de la Gmf),le même jour que l'accident nucléaire de Tchernobyl en Ukraine,soit le 26/04/1986.

    Un avertissement ou une coïncidence curieuse ?.

    Le A retrouvé à la Fnac des Halles voudrait-il dire Atome ?

    A la suite de ce décès,Michel Baroin écrit le livre "la force de l'amour" et se fait le chantre de l'économie solidaire,de la solidarité. en insistant sur les pouvoirs supposés du cerveau,sa foi en l'homme,un homme sans Dieu.,de l'homme citoyen.

    Michel Baroin a-t-il eu le pressentiment de sa mort ?

    C'est quelques jours seulement avant sa mort,le 05/02/1987 que Michel Baroin avait remis le manuscrit de ce livre à l'éditeur Odile Jacob,le testament de sa vie,de son engagement.

    Michel Baroin a été initié le 12/05/1960 à la loge "les amis de l'humanité" du grand orient de France..Il s'est marié à une Creusoise originaire de Dun le Palestel.

    Il est né à Paris le 29/11/1930 et son père devenu gardien de la paix à Paris est originaire d'OUROUX en MORVAN dans la Nièvre arrondissement de Chateau Chinon..

    François Mitterrand originaire de Charente a été envoyé par le radical socialiste et crypto franc maçon Henri Queuille,dans la Nièvre.

    Il fut maire de Chateau Chinon,puis président du conseil général.de la Nièvre.

    La femme de Mitterrand,Danielle était fille de franc maçon et Jacques Mitterrand ,parent par des ancêtres de Bourges,fut grand maître du grand orient de France.

    C'est ainsi qu'une solide amitié maçonnique se noua entre Mitterrand et Michel Baroin.qui revenait souvent à Ouroux en Morvan..

    Michel Baroin commença sa carrière comme commissaire de police en Algérie puis à LilleI.Il fut affecté ensuite aux renseignements généraux et aux services secrets avec pour mission d'infiltrer la franc maçonnerie.Il y réussit s'y bien qu'il en devint grand maitre et se compromit dans cette mafia.


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    Peut être une image de 1 personne et texte qui dit ’미 PEERETIR «Si on s organisait bien, on pourrait, avec ce qu on possède [...] faire bouffer tout le monde sans ce que cela pose un probleme particulier a l'ensemble de la communauté.» Coluche Lancement de la nouvelle campagne des Restos du Cour, 1986’

     

     

     

     

    Coluche était contre le gouvernement.Son projet de candidature à la présidentielle a semé la panique chez les politiques.Il discréditait d'ailleurs le pouvoir politique .En créant "les restaurants du coeur",il a montré que les politiques étaient des incapables en matière d'urgence sociale.

    Le pouvoir politique ne lui a pas pardonné.On peut noter la même chose en ce qui concerne Balavoine.Il était aussi contre le pouvoir politique et sa mort en accident d'hélicoptère demeure bien mystérieuse.Quand à Jean Edern Halier le fondateur du journal l'Idiot Internal,son accident cardiaque en vélo a été causé car il avait révélé l'existence de la fille cachée de Mitterrand Mazarine ,logée et nourrie à nos frais à l'Elysée.

     

    Coluche a été contacté par les francs maçons et a refusé d'en faire partie.Ceci,4 mois avant sa mort.

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    L'humoriste et homme de scène Coluche a été assassiné le 19/06/86 sur une petite route des Alpes Maritimes.

    La version officielle et colportée par les médias est que Coluche roulait trop vite en moto,ne portait pas de casque et aurait percuté un camion faisant une manoeuvre sur la route.

    Cependant,le livre "Coluche l'accident" de Jean Depussé et Antoine Casubodo,paru aux éditions Privé,relatent une toute autre version.

     

    Selon ce livre,deux amis suivaient Coluche en moto:

    Ludovic Paris et Didier Lavergne.

    Ces deux amis de Coluche ont témoigné que le chauffeur du camion,un certain Monsieur Ardisson a braqué au dernier moment en plein milieu d'une ligne droite pour écraser Coluche qui roulait à 60 km à l'heure.

    Les analyses ont montré que Coluche n'était  ni sous l'emprise de la drogue ni sous celle de l'alcool.

    Le témoignage des deux amis de Coluche n'a pas été retenu par le juge d'instruction,un certain Jean Pierre Renard,

    Franc maçon membre de la grande loge nationale de France .

    Ce franc maçon pourri a été dans la suite de ses fonctions mis à la retraite d'office  pour d'autres affaires qui portaient atteinte à l'autorité de la Justice.

    De plus,il a été condamné pour faux,usage de faux et violation de secret professionnel au profit de sa loge maçonnique.

    Coluche avait reçu plusieurs fois des menaces de mort,dont une balle dans une de ces lettres.

    Par son projet de candidature à la présidentielle,compte tenu du succès remporté,dénonçant les "tous pourris",il a fait très peur au monde politique.

    Il gênait le pouvoir politique et en fondant les restaurants du coeur,il avait réussi face à une clique politique qui ne faisait rien pour ceux qui souffraient de faim en France.

    Il a fait ce que tout politique aurait du faire,c'est à dire donner les surplus alimentaires aux pauvres.

    Au moment de l'assassinat de Coluche avait lieu le gouvernement de cohabitation entre François Mitterrand de gauche et son premier ministre Jacques Chirac de droite.

    Le ministre de l'Intérieur qui chapeautait la police était un certain Charles Pasqua,un des fondateurs de SAC,le service d'action civique,spécialisé dans les assassinats,le trafic d'armes,le blanchiment  d'argent.Le SAC recrutait dans les milieux criminels.

    A début,le SAC était le service secret du RPF,le parti de de Gaulle.C'est ce service qui a initié le coup d'Etat de Mai 1958,suite aux événements d'Algérie et a provoqué la passation du pouvoir de René Coty au général de Gaulle.

    Les journaux  racontent ce que leur transmet AFP,l'Agence Française de Presse.Or,celle-ci est infiltrée par les renseignements généraux,truffés de francs maçons,eux mêmes à cette époque sous la direction de Charles Pasqua.

    Coluche connaissait aussi  l'affaire de Mazarine,la fille secrète de Mitterrand avec Anne Pingeot.

    C'est ainsi aussi que le journaliste Jean Edern Hallier qui dans son journal "L'idiot international" voulait révéler l'affaire Mazarine est mort mystérieusement en vélo.

    De même que le chanteur Balavoine qui malmenait le pouvoir et a fait honte aux gouvernants en fournissant des pompes à eau en Afrique est mort mystérieusement dans un accident d'hélicoptère en Afrique.

    Toutes ces morts sont suspectes et comme toujours on retrouve des francs maçons au centre de ces affaires.

    Voir aussi l'introduction de mon blog sur l'assassinat maçonnique de Paul Doumer,ancien président de la République Française.

    Le pape Léon XIII nous avait prévenu dans son encyclique "Humanum Genus",la franc maçonnerie est une association criminelle,sous une couverture philanthropique.