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     Collections - Musée de Bretagne

     

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    La loge Massilia Marseille                

     

     https://www.midilibre.fr/2021/02/09/

     

    "Alès : condamné à 15 ans pour viols sur sa nièce, pourquoi l'accusé sort de prison un an après ? Justice , Gard , Alès Publié le 09/02/2021 à 11:50 , mis à jour le 11/02/2021 à 08:25

     

    Jessika Cviklinski : Il faut faire de la prévention très tôt et protéger ceux qui signalent. Jessika Cviklinski : "Il faut faire de la prévention très tôt et protéger ceux qui signalent." MIDI LIBRE - STEPHANE BARBIER

    Jacques Cviklinski, condamné en mars 2020 à quinze ans de réclusion en appel pour viols sur sa nièce, Jessika, est sorti de prison pour un état de santé incompatible avec son maintien en détention. Une décision qui suscite la colère de Jessika après treize ans de combat judiciaire. En fin d'article, un lien actif permet de se connecter au site Vimeo afin de visualiser le documentaire relatant le parcours judiciaire de Jessika.

     

    Jessika, quel est votre sentiment après ce nouvel épisode judiciaire ?

     

    Lors de la demande d'expertise médicale, nos avocats ont demandé qu'elle ne soit pas réalisée par un médecin de la région marseillaise, afin d'éviter qu'elle soit faite par une connaissance de Jacques Cviklinski.

     

    Fâcheusement, un médecin de La Timone a été désigné, or c'est un hôpital où mon oncle a exercé. Ce médecin expert appartient à un service qui est dirigé par un professeur avec qui mon oncle a mené une action au Lions Club de Marseille, et cela avec un troisième médecin de ce même service. Ils ont tous les trois tenu une conférence au Lions pour l'occasion, en 2016.

     

    Le troisième médecin (qui n'est pas l'expert) a fourni une lettre de soutien à mon oncle lors du second procès d'Aix-en-Provence, en 2017. Dans cette lettre, il dit que Jacques Cviklinski, président du Lions Club, s'est beaucoup démené pour collecter un don qu'il a fait au service de chirurgie infantile et orthopédique du Professeur J., à La Timone, etc. La cour dit que l'intégrité du médecin expert ne peut pas être mise en doute.

     

    Pourquoi cet expert a-t-il accepté d'effectuer l'expertise dans ces conditions ? Pourquoi n'avoir pas dépaysé cette expertise ? Là, je ne crois pas au hasard. Je demande aussi par qui et pourquoi l'accès à la salle des pas perdus a été interdit à la presse au premier procès d'Aix-en-Provence, en 2017. Pourquoi une personne qui assistait au procès s'est vue arracher les pages de son carnet de notes par un policier ? Je suis atterrée. Mon oncle est devenu président du Lions Club Lacydon de Marseille en 2015 et 2016, alors que la procédure était en cours depuis 2008, et, en 2016, devait avoir lieu son premier procès aux assises d'Aix-en-Provence.

     

    Comment comprendre qu'après deux condamnations, à 12 ans, puis à 15 ans de prison ferme en appel, il soit toujours au bureau du Lions ? (L'accusé a décidé de se pourvoir en cassation NDLR). Est-il toujours inscrit à l'ordre des médecins ? Nous avons démontré qu'il bafouait son contrôle judiciaire en se rendant à l'anniversaire de sa loge maçonnique à Marseille, alors qu'il était à l'époque assigné à résidence en Corse.

     

    Pourquoi cela n'a servi à rien ? Mon oncle, Jacques Cviklinski, est un criminel condamné pour viols incestueux, mais, ce qui ajoute au crime aujourd'hui, c'est qu'il arrive à s'extraire des différentes condamnations de la justice. C'est curieux de constater qu'en 2021, La Fontaine soit toujours d'actualité : "La justice et l'application de ses peines sont différentes selon qu'on est puissant ou misérable." Cela suscite dégoût et colère.

     

    Quel regard portez-vous sur la justice ?

     

    Les condamnations m'ont rendue confiante, elles m'ont apaisée. Je me suis battue, nous nous sommes battus pour une cause juste. La reconnaissance des violences qu'on a subies et de la gravité des faits a été réparatrice. Malheureusement, le processus judiciaire semble ne jamais pouvoir définitivement aboutir. Il fait un pourvoi en cassation. Il faut attendre encore, et recommencer peut-être un nouveau procès. Je voudrais plus que tout qu'on en finisse, et qu'il ne puisse plus nuire.

     

    Pour cela, j'en viens à souhaiter qu'il meure des maladies qu'il dit avoir. Ce n'est pas normal d'en arriver là. Il semble avoir les moyens d'user de tous les recours possibles. Il n'arrêtera pas tant qu'il aura de l'argent, de l'entregent, et encore des recours. De plus, nous savons que la justice manque de moyens, or une personne comme lui fait reporter les procès à répétition, à la dernière minute, ou bien en cours. Combien cela coûte-t-il à la communauté, au détriment des autres affaires ? Quel coût psychologique, de santé et financier pour les victimes ?

     

    Votre action en justice demeure-t-elle positive ?

     

    C'est un élan vers la lumière que peuvent voir des victimes encore dans le silence. Mais le processus n'est pas terminé, j'attends de voir la suite. Pour l'heure, elle m'a libérée de l'emprise familiale. Elle a reconnu ce que mon oncle nous a infligé.

     

    Cette reconnaissance est nécessaire pour se réparer, retrouver une dignité et une place dans la société. Mais l'action juridique ne suffit pas. Il faut pouvoir trouver de l'aide psychologiquement, par exemple. Pour tenir la route, il faut être solidement accompagné. C'est mon cas, je considère que j'ai beaucoup de chance. Quand ce processus arrivera à son terme, je pense qu'il sera riche d'enseignements. Il l'est déjà.

     

    Quel témoignage faites-vous de votre combat ?

     

    À 45 ans, j'ai parcouru un long chemin. D'abord isolée, abîmée, et en survie, j'ai cherché de l'aide et du soutien à l'intérieur de ma famille (parmi les personnes de ma génération) et aussi à l'extérieur, j'en ai trouvé. J'ai trouvé des personnes dotées de grandes qualités humaines, constantes, en qui j'ai eu confiance et qui ne m'ont jamais déçue.

     

    Parmi elles, il y a mon avocat, Me Joanny Moulin. Il est payé par l'aide juridictionnelle pour mon affaire. À mes côtés depuis le début, il n'a jamais baissé la garde, disponible, réactif, compétent. Je ne me bats pas seule. Cependant, cette affaire est un dossier sur son bureau. Pour moi, c'est une part douloureuse de ma vie. Je veux pouvoir tourner cette page.

     

    Je n'imaginais pas un tel combat, mais il est salutaire. J'encourage vivement les victimes à parler et à s'entourer pour se reconstruire et retrouver la liberté. Aussi, je souhaite que les événements de l'actualité lèvent enfin le tabou de l'inceste, c'est vital. Il faut se former, faire de la prévention très tôt, et protéger ceux qui signalent.

     

    Tous les enfants, quelle que soit leur condition sociale, doivent être protégés dès leur naissance. Mon engagement, ma participation pour un changement de société, est visible dans le documentaire réalisé par Michèle Bourgeot et produit par Thierry Maisonnave.

     

    Sur le site Vimeo, un documentaire réalisé par Michèle Bourgeot, produit par France THM productions, intitulé “Une affaire de famille” relate le long parcours de Jessika Cviklinski, nièce de l'accusé, ainsi que son avocat, Me Joanny Moulin, membre de l'association “Parole d'enfant”. Contact : jessikalinski.uneaffairedefamille@protonmail.com

     

    Me Moulin rappelle l'enchaînement des faits ayant conduit à la libération de l'accusé

     

    Me Joanny Moulin, avocat de Jessika Cviklinski, revient sur "les trois épisodes" qui se sont conclus, le 11 janvier, par un arrêt de la chambre de l'instruction ordonnant la remise en liberté de Jacques Cviklinski.

     

    Une décision motivée par le rapport de l'expert concluant que "l'état de santé de Jacques Cviklinski est incompatible avec son maintien en détention". Placé sous contrôle judiciaire, avec obligation de ne pas sortir du territoire national métropolitain, de s'absenter de son domicile, de remettre au greffe son passeport, Jacques Cviklinski vit actuellement à Marseille.

     

    "Il y a eu trois audiences. Une demande de mise en liberté formulée par l'accusé disant que son état était incompatible avec une détention. Cela a été plaidé et je m'y suis opposé en disant que rien ne le prouvait. Et en expliquant surtout qu'il avait été pincé une fois en violation de contrôle judiciaire, en train de gambader dans les rues de Marseille alors qu'il avait comparu avec une espèce de fauteuil roulant devant la cour d'assises. Là, on avait gagné." 

     

    Un premier refus qui n'arrête pas Jacques Cviklinski, puisqu'il entame une deuxième procédure, "une expertise cette fois-ci", souligne Me Joanny Moulin. "La cour a désigné un expert qui a rendu un rapport assez fourni, indiquant que son état actuel n'était plus compatible avec la détention. À cause du diabète, qu'il est en fauteuil roulant, qu'il est en train de perdre un œil, etc."

     

    La cour procède alors à sa libération et renvoie sur une troisième audience, en janvier. Celle-ci devait décider "si on le plaçait sous contrôle judiciaire ; lui souhaitait partir en Corse ; nous souhaitions le bracelet électronique, sachant que son port ne peut aller au-delà de 2 ans et qu'il avait déjà fait 15 mois de bracelet pendant l'instruction. Il a donc été placé sous contrôle judiciaire à Marseille." 

     

    Si Me Moulin "aurait préféré qu'il reste en prison" l'avocat évalue que "compte tenu de ce rapport d'expertise, le maintien en détention aurait été irrémédiablement censuré par la cour de cassation via l'article 3 de la déclaration des Droits de l'Homme. Mais le fait qu'il ait été mis sous contrôle judiciaire strict à Marseille, je ne suis pas si déçu que ça." 

     

    Conscient de l'amertume des plaignantes, Me Moulin souligne qu'"il ne faut pas se tromper de combat : l'important, c'est la culpabilité. Je comprends qu'elles soient déçues et considèrent le fait qu'il sorte comme victorieux. Je peux l'entendre. Mais, techniquement, sur le dossier, en état du rapport d'expertise et dans l'hypothèse d'un pourvoi en cassation contre un arrêt de la chambre d'instruction qui aurait refusé la remise en liberté, la cassation aurait été certaine. La cour avait dit 15 ans et il n'a fait que deux ou trois années. Je comprends la dose d'amertume." 

     

    Une libération via le rapport d'un expert que les avocats des parties civiles souhaitaient hors du ressort de la cour d'appel d'Aix, "dans la mesure où il est grand maître d'une loge maçonnique, ex-président d'un Lions Club, médecin ophtalmologue à Marseille et très introduit. La cour a répondu que le fait même d'être inscrit sur la liste des experts fait acte de probité ipso facto. La chambre a pourtant repris tous nos arguments. Je prouve que le médecin expert fait partie du service dont le chef a témoigné en faveur de Jacques Cviklinski. Que le second du service était en lien avec l'accusé. En revanche, je n'ai pu prouver que l'expert lui-même avait des liens directs avec l'accusé. Ils s'étaient beaucoup rencontrés dans le cadre d'action par le Lions Club, mais la cour disait que l'on ne pouvait suspecter la validité du rapport d'expertise."

     

    Stéphane BARBIER

     

     

     

     

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     La technique de l'insémination d'une vache a servi de modèle d'expérimentation pour l'insémination des femmes ou procréation médicalement assistée ( PMA ).Ceci a été étendu aux lesbiennes et au femmes célibataires.Pour les mâles ou couples gays,la gestation pour autrui (GPA),c'est à dire le recours à des mères porteuses  est pratiqué,par le recours à l'étranger.

    Dans le premier cas,l'enfant ne connaitra pas son père,dans le deuxième cas,il s'agit il s'agit d'une prostitution immonde d'un utérus et l'enfant non plus ne connaitra pas sa mère.

    Tout ceci engendre des souffrances sur l'enfance d'abord et ensuite sur la vie entière.

    Il s'agit d'un crime contre l'humain orchestré par les francs maçons.

     

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    LOI DE BIOETHIQUE:LA PMA POUR TOUTES,C'EST A DIRE CELIBATAIRES OU LESBIENNES,VALIDEE PAR L'ASSEMBLEE NATIONALE ET ADOPTEE DEFINITIVEMENT LE 29 JUIN.

     

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    valeurs-actuelles Le Club

    PMA : Le vrai pouvoir des francs-maçons

    PMA pour toutes, gestation pour autrui, euthanasie, réforme des institutions, islam. Patiemment, dans les loges, à l'Assemblée nationale, au Sénat, au Conseil économique social et environnemental (CESE), des maçons travaillent à remodeler la société française. Parfois sans le concours d'Emmanuel Macron, parfois avec…

     

    Par Raphaël Stainville

    Publié le 6 octobre 2019 à 13h00

     

    Il est des victoires qui ne se célèbrent pas sur les Champs-Élysées. Il est des victoires dont il est même utile de ne pas revendiquer la paternité et de la concéder à d’autres. Les francs-maçons le savent bien, qui cultivent volontiers le secret et préfèrent, sinon taire, du moins minorer l’efficacité de leurs réseaux. Les tags complotistes qui sont apparus pendant la crise des “gilets jaunes” sur nombre de temples maçonniques un peu partout en France ont vite fait de rappeler à ceux qui voulaient s’affranchir de cette règle qu’il ne fait pas toujours bon d’apparaître comme trop proche du pouvoir.

     

     

    Vendredi 27 septembre, alors que l’article premier du projet de loi sur la bioéthique, qui prévoit d’étendre aux femmes célibataires et aux couples de lesbiennes l’accès aux techniques de procréation médicalement assistée, était adopté à l’Assemblée nationale par 55 voix pour, 17 contre et trois abstentions, aucune obédience ne prenait le risque de saluer l’ouverture à la PMA sans père. Pas plus le Grand Orient de France (GODF) que la Grande Loge de France (GLDF) ou la Grande Loge nationale française (GLNF) n’ont adressé à l’AFP de communiqués triomphateurs. Et pourtant… Ce projet de loi, comme d’autres avant lui, de l’aveu de certains frères haut gradés que nous avons interrogés, a été pensé et mûri en loges avant même d’être débattu par les députés. Il est, certes, éloigné le temps où le moindre amendement était écrit en tenue, mais l’influence maçonnique n’en est pas moins présente.

     

    Quand le Grand Orient fait le forcing

    Ce n’est un mystère pour personne que le Grand Orient, depuis des années, est favorable à l’extension de la PMA, quoique Jean-Philippe Hubsch, l’actuel grand maître du GODF, s’en défende auprès de nous. Il affirme à Valeurs actuelles que « sur les sujets actuels, le Grand Orient de France n’a pas de position officielle par respect pour ses membres », mais reconnaît toutefois que « certaines tendances se détachent dans la commission, sans qu’elles deviennent des directives ». L’affaire semblait plus évidente voilà deux ans : dans la résolution que son conseil de l’ordre a adoptée le 29 septembre 2017, la principale obédience maçonnique française ne cache pas qu’elle souhaite que « cette évolution vers plus d’égalité et de justice sociale se réalise rapidement ». « Il suffit pour cela, ajoute-t-elle, que le législateur prenne toutes ses responsabilités, conformément aux principes de notre République laïque.

     

     

     

    C’est sans compter sur le calendrier du chef de l’État et la prudence dont il veut faire preuve, convaincu que ces sujets sociétaux sont hautement inflammables. Emmanuel Macron s’est certes engagé pendant la campagne présidentielle à faire évoluer le droit, convaincu que « le fait que la PMA ne soit pas ouverte aux femmes seules et aux couples de femmes de même sexe est une discrimination qui ne se justifie ni sur le plan éthique et philosophique ni sur le plan politique », mais il entend procéder avec méthode, pour dépassionner le débat.

     

     

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    Macron Franc-maçon

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    CHALLENGES  FRANCE

     

     

    Macron franc-maçon? Le point sur le pouvoir réel des "frères" en Macronie

    Par Bertrand Fraysse le 18.01.2018 à 17h52

     

    Symboles et expressions maçonniques, initiés au gouvernement... Emmanuel Macron serait-il sous la coupe de la franc-maçonnerie ? Le point sur le pouvoir des "frères" en Macronie.

     

    Discours de Macron devant la pyramide du Louvre le 7 mai 2017

    Emmanuel Macron lors de son discours d'après victoire à l'élection présidentielle, devant la pyramide du Louvre à Paris, le 7 mai 2017.

     

     

    Cela a commencé dès le discours d’investiture, prononcé devant une pyramide, celle du Louvre, symbole cher aux francs-maçons. Il y a eu ces mots du nouveau président, "en vos grades et qualités", caractéristiques du vocabulaire maçonnique. Et puis la photo officielle, avec cette mystérieuse horloge à deux cadrans et ce coq se reflétant sur un téléphone portable. Le coq, symbole de la France, certes, mais aussi de l’initiation à la franc-maçonnerie, annonçant au profane le triomphe de la lumière sur les ténèbres. Le doute n’était plus permis : Emmanuel Macron est franc-maçon ! Ou bien sous la coupe des "frères invisibles"... Ne s’est-il pas rendu en 2016 à une "tenue blanche fermée" (réservée à un public d’initiés) au siège du Grand Orient de France (GODF), rue Cadet, à Paris ? Deux de ses principaux ministres, Gérard Collomb et Jean-Yves Le Drian, à l’Intérieur et aux Affaires étrangères, ne sont-ils pas des frères déclarés, précisément affiliés à des loges du Grand Orient ? Sans compter tous les autres qui avancent masqués


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     Le nouvel ordre mondial maçonnique est écrit en toutes lettres sur le sceau des Etats Unis.Les Etats Unis ont été fondés par les francs maçons Benjamin Franklin,Thomas Jefferson et Georges Washington.

    C'est le franc maçon  américain Wodrow Wilson,28° président des Etats Unis,démocrate et franc maçon qui fut le principal acteur de la création de la Société des Nations (SDN).Elle fut remplacée par la suite par la même société maçonnique de l'Organisation des Nations Unis (ONU).

    C'est le super état maçonnique du monde. 

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    "En 1912, Émile Flourens, ancien ministre français des Affaires étrangères, dénonça les prémisses de la création de la Société des Nations et de la Cour permanente de justice internationale dans un livre signalant les influences maçonniques pour créer un gouvernement mondial, une justice mondiale et une religion globale dans un Nouvel ordre mondial d'où le papisme serait exclu. Il émit l'hypothèse que les cercles maçonniques désiraient éliminer le droit à l'autodétermination des peuples pour le remplacer par le droit international. Actuellement, Gary H. Kah considère que la franc-maçonnerie est la force qui organise l'ordre du jour vers le Nouvel ordre mondial doté d'un gouvernement mondial unique"

    ( Source wikipédia)


  • C'est en 135 que l'empereur romain Hadrien changea  le nom de la Judée Samarie en palestine, tiré du mot philistins :des marchands établis sur la bande côtière.Ceci pour humilier les hébreux après leur révolte contre les occupants romains.

    Terrorisme - Le Hamas : origines, idéologie et fonctionnement | Crif -  Conseil Représentatif des Institutions Juives de France

    Le mot Hamas en hébreu signifie violence.Son but à Gaza,détruire Israël.Le franc- maçon Melenchon fondateur du parti "les insoumis" est un islamo-gauchiste particulièrement actif.Par son projet de manifestation publique pro-hamas, ce samedi 15 Mai,il justifie les milliers de tirs de roquettes du hamas sur Israël,avec les destructions et morts conséquents.

    Malgré l'interdiction de cette manifestation pro-palestiniens,celle-ci a bien eu lieu à Paris.On y entend des slogans comme Israël assassin.Mais bien sûr rien sur le Hamas qui est reconnu par toutes les nations comme organisation terroriste.

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     Fausses racines, faux territoire, faux peuple, fausse nation : le mythe « palestinien » expliqué

    PUBLIÉ PAR GALLY LE 14 MAI 2021

     

    L’article suivant a été publié par «Durandal» le 10 avril 2006 pour le défunt blog «enpleindanslmille.blogspot.com». Il devait être republié et diffusé. Voilà qui est fait.

     

    Les fausses «racines anciennes»

    Les supporteurs de la «cause palestinienne» scandent à tour de bras que les Arabes «palestiniens» vivent depuis «des milliers d’années» en «Palestine».

     

    Des Arabes côtoient des Juifs dans cette région depuis des milliers d’années, ceci est vrai. Toutefois, ils n’ont jamais vécu en Terre d’Israël elle-même, ils étaient établis au Sud et à l’Est. Les Arabes en question sont les Nabatéens, une ancienne nation de chameliers-marchands.

    Ces Arabes sont originaires de l’Arabie du Nord. Ils émigrèrent vers le territoire d’Édom (l’actuel désert du Néguev) 350 ans notre ère. Leur métropole fut Pétra, l’ancienne capitale des Édomites située à égale distance entre la mer Morte et le golfe d’Aqaba.

     

    Peu à peu le Néguev fut connu sous le nom de Nabatène. Grâce à leurs caravanes allant d’une oasis à l’autre, ses habitants étendirent rapidement leur influence économique dans le Sinaï, l’est de la Jordanie actuelle, le sud de la Syrie actuelle et le nord-ouest de l’Arabie

     

     

    Au cours de la guerre des Juifs contre les Helléniques en 166-142 av. J.-C., Juifs et Nabatéens furent alliés.

     

    Le royaume nabatéen prit fin en l’an 106 lorsque la Nabatène est conquise par les Romains qui en font une province de leur empire.

     

     

    Pendant les 2e, 3e et 4e siècles, les Nabatéens se convertirent au christianisme.

     

    Au cours de leur histoire, les Nabatéens ne remplacèrent jamais les Juifs en tant qu’habitants de la Terre d’Israël, mais ils coexistèrent à côté d’eux sur un territoire distinct. Voici d’autres cartes de la province romaine d’Arabie :

     

     

     

    Comme visible sur les cartes, les Nabatéens ne s’établirent pas à l’ouest du Jourdain. Ils s’installèrent toutefois à l’est du Jourdain et de la mer Morte. Les Juifs attaquèrent les Nabatéens vivant en Pérée et en Moab en 90 av. J.-C. et en convertirent (de force) beaucoup au Judaïsme. En 32-31 av. J.-C., les Juifs attaquèrent encore les Nabatéens, cette fois en Décapole et en Ammon.

     

    Les Arabes «palestiniens» ne sont donc pas des habitants millénaires de la «Palestine».

     

    La conquête arabo-musulmane

    Les Arabes, dans le contexte des conquêtes islamiques, s’emparèrent de la Terre d’Israël en 638, la spoliant de leurs habitants Juifs et chrétiens.

     

    Beaucoup de sources (dont plusieurs Arabes) confirment le fait que la Terre d’Israël était encore judéo-chrétienne par la population et la culture malgré la diaspora juive et la domination islamique :

     

    L’historien James Parker a écrit :

    «Pendant le premier siècle après la conquête arabe [640-740], le Calife et les gouverneurs de la Syrie et de la Terre [Sainte] ont régné entièrement sur des sujets chrétiens et juifs. Mis à part des Bédouins lors des premiers jours [du règne arabe], les seuls Arabes à l’ouest du Jourdain étaient les garnisons.»

     

    En 985 l’auteur arabe Muqaddasi s’est plaint qu’«à Jérusalem la grande majorité de la population est juive», et dit que «la mosquée est vide des adorateurs…».

    Quoique les Arabes aient régné sur la Terre d’Israël de 638 à 1099, ils ne sont jamais devenus la majorité de la population. La plupart des habitants étaient des chrétiens (assyriens et arméniens) et des Juifs.

     

    Tout le monde conviendra que les Arabes ne prospérèrent pas plus pendant la période des croisades allant de 1099 à 1289.

     

    L’ère ottomane

    La seconde période de règne islamique est la seule qui reste aux musulmans qui veulent affirmer qu’une grande nation arabo-musulmane existait en Terre Sainte avant que les Juifs viennent recréer leur État.

     

    Voyons voir si les Juifs s’emparèrent d’une «contrée bien établie, peuplée et verdoyante» en retournant en Terre d’Israël comme les Arabes l’affirment de nos jours. Tous les récits de voyage et rapports sur la Terre d’Israël de cette époque attestent au contraire d’une région vide de l’Empire ottoman. Voici ce que plusieurs personnes ayant voyagé dans cette région on constaté :

     

    – Ibn Khaldun, un des historiens arabes les plus crédibles, a écrit en 1377 : «La souveraineté juive sur cette terre s’est prolongée sur 1 400 ans… C’est les Juifs qui ont implanté la culture et les coutumes en s’y étant installés de manière permanente». Après 519 ans (non consécutifs) de domination musulmane sur la Terre d’Israël, Ibn Khaldun a certifié que la culture et les traditions juives étaient encore dominantes.

    – Edouard Webbe en 1590 : «Il n’y a rien à Jérusalem mis à part des vieux murs».

    – Henry Maundrell en 1697 : Nazareth, «un village minuscule et sans importance», Jéricho, «une bourgade minable et sale», Acre, «une désolation».

    – L’archéologue britannique Thomas Shaw en 1738 : la Terre Sainte «VIDE, désolée et manquant de tout, qui manque d’habitants».

    – Le comte François Volney en 1785 : «Nous avons du mal à reconnaître Jérusalem, on y compte environ 12 000 habitants. Le pays est désolé et ruiné.»

    – Commentaires par des chrétiens dans les années 1800 : «Les Arabes ne peuvent pas être considérés comme autre chose que des résidents temporaires. Ils ont placé leurs tentes dans un pays ruiné. Ils n’ont rien créé en Terre Sainte. Puisqu’ils sont des étrangers sur cette terre, ils ne sont jamais devenus ses maîtres.»

    – Alphonse de Lamartine en 1832 : Mis à part à Jérusalem, il ne rencontra pas âme qui vive et que la Terre d’Israël était «le tombeau de tout un peuple [les Hébreux]».

    – William Thackeray en 1844 : «La région est abandonnée. Nous n’avons vu aucun animal se déplacer parmi les pierres.»

    – Alexandre Keith en 1844 : «La Terre Sainte est arrivée à l’état de désolation total décrit par les prophètes.»

    – Le consul britannique en Terre d’Israël, James Pinn en 1857 : «Le pays est presque inhabité, il a grand besoin d’habitants.»

    – Le cartographe britannique Arthur Penrhyn Stanley en 1862 : «Ni signes de vie ni habitations en Judée, sur des distances entières.»

    – Mark Twain en 1867 : «Pas un seul village dans la vallée de Jezréel, rien sur 30 miles dans les 2 sens. 2 ou 3 petits groupes de tentes bédouines, mais pas une seule habitation permanente. On peut voyager pendant 10 miles sans rencontrer 10 êtres humains. Déserts sans âme qui vive, collines VIDES, ruine mélancolique de Capharnaüm, stupide village de Tibériade, enterré sous six palmiers. Nous arrivâmes à Tabor sans rencontrer âme qui vive tout au long du chemin. Nazareth est désolée, Jéricho est en ruine, Bethléem et Béthanie, dans leur pauvreté et leur humiliation, ces endroits n’abritent pas une créature vivante. Un pays désolé, dont la terre serait peut-être assez riche si elle n’était abandonnée aux mauvaises herbes. Une étendue silencieuse, triste. À peine y a-t-il un arbre ou un arbuste, çà et là. Même les oliviers et les cactus, ces fidèles amis d’un sol sans valeur, ont quasiment déserté le pays.»

    Le consul américain à Jérusalem en 1880 rapporte que la région continuait son déclin : «La population et la richesse de la «Palestine» n’ont pas augmenté pendant les 40 dernières années.»

    B. W. Johnson en 1892 : «Dans la partie de la plaine entre le mont Carmel et Jaffa on voit à peine quelques villages ou autres formes de vie humaine. Caesarea est maintenant entièrement abandonné. La désolation est partout autour de nous.»

    Compte-rendu de la commission royale Britannique de 1913 : «La région est sous-peuplée et est restée économiquement stagnante jusqu’à l’arrivée des premiers pionniers sionistes vers la fin des années 1880, qui sont venus pour reconstruire la terre juive. La route qui va de Gaza vers le nord n’est qu’une piste estivale tout juste bonne pour les chameaux et les charrettes. On ne voit ni bosquet d’orangers, ni verger, ni vigne, jusqu’à ce que l’on arrive en vue du village de Yavné. Les maisons sont des torchis. Il n’existe pas d’écoles. La partie orientale en direction de la mer est quasiment désertique. Les villages, dans cette région, sont rares et chichement peuplés. Beaucoup de villages sont désertés par leurs habitants.»

    Dawood Barakat, éditeur du journal égyptien Al-Ahram en 1914 : «Les sionistes sont nécessaires pour le pays : l’argent qu’ils apporteront, leurs connaissances, leur intelligence et l’industrialisation qui les caractérise contribueront sans aucun doute à la régénération du pays.»

    Voilà pour le pays verdoyant et habité «envahi» par les Juifs. Fait historique : sous la domination turque, la terre était à l’abandon et dépeuplée. La terre s’est peuplée à la fois de Juifs et d’Arabes car les Juifs sont revenus et ont commencé à la réhabiliter.

     

    Une seule ville arabe fut construite en Terre d’Israël : Ramleh. Toutes les autres sont des villes juives rebaptisées par eux. L’historien suisse Félix Bovet notait en 1858 : «C’est parce que les Arabes ne sont pas des autochtones qu’ils n’y construisent rien.»

     

    Le mandat britannique

    Après la Grande Guerre, les Britanniques héritèrent de ce morceau de l’Empire ottoman défait. Beaucoup de citations de l’époque attestent que le pays était désolé et qu’il n’existait pas d’entité dite «palestinienne».

     

    Hussein Al-Qibla, gardien des lieux saints en Arabie Saoudite en 1918 : «Les ressources du pays et le sol vierge seront développés par les immigrés juifs. […] Nous avons vu les Juifs des pays étrangers venir en «Palestine» de Russie, d’Allemagne, d’Autriche, d’Espagne, d’Amérique. […] Ils ont su que le pays était pour ses fils d’origine […] une patrie sacrée et aimée. Le retour de ces exilés à leur patrie s’avérera matériellement et religieusement [être] une expérimentation pour leurs frères [autres Juifs].»

    Lewis French, le directeur britannique du développement de la «Palestine» en 1931 : «Nous l’avons trouvée [la « Palestine »] habitée par des Fellahs [agriculteurs arabes] qui vivent dans des taudis de boue et souffrent sévèrement de la malaria très répandue. De grands secteurs étaient non cultivés. […] Il n’y avait presque aucune sécurité publique, Les fellahs sont sans cesse soumis au pillage de leurs voisins nomades, les Bédouins.»

     

     

    Le représentant arabe en «Palestine» déclara en 1919 : «Nous considérons la «Palestine» comme faisant partie de la Syrie.»

     

    Le dirigeant arabe en Terre d’Israël Awni Bey Abdul Haadi déclara en 1937 : «Il n’y a pas de pays tel que la «Palestine». «Palestine» est un terme que les sionistes ont inventé. Il n’y a pas de «Palestine» dans la Bible. Notre pays a fait partie de la Syrie pendant des siècles. «Palestine» nous est aliénée, c’est les sionistes qui l’ont introduit.»

     

     

     

    Le professeur Philip Hitti, historien arabe, déclara en 1946 «Il n’y a pas de chose telle que la «Palestine» dans l’histoire, absolument pas.»

     

    Le représentant du Haut Comité arabe aux Nations Unies déclara en 1947 : «La «Palestine» fait partie de la province de Syrie. Les Arabes vivant en Palestine ne sont pas indépendants dans le sens qu’ils ne constituaient pas une entité distincte.»

     

    Le représentant de l’Arabie Saoudite aux Nations Unies déclara en 1956 : «C’est une connaissance générale que la «Palestine» n’est rien d’autre que la Syrie du Sud.»

     

     

     

    Le roi Hussein de Jordanie répéta plus d’une fois : «Il n’y a aucune distinction entre la Jordanie est la «Palestine».»

     

    Hafez Assad (ex-Président syrien) déclara : «Il n’y a pas de peuple «palestinien», il n’y a pas d’entité «palestienne».»

     

     

     

    Ahmed Shuqeiri (ex-président de l’OLP) déclara : «La «Palestine» ne fut jamais rien d’autre que la Syrie du Sud.»

     

    À cette époque, les Arabes (ainsi que tout le monde) n’ont jamais soulevé la question d’un État «palestinien» car les Arabes eux-mêmes n’exigeaient pas d’État pour un peuple qui n’existait PAS !

     

    La «Palestine» n’a jamais constitué un pays et le concept même de «Palestine» n’existait pas dans l’Empire ottoman !

     

    Le mot même de «Palestine» (ou mot équivalent désignant cette région) n’était quasiment pas utilisé chez les Turcs et les Arabes. Il n’y avait ni État ni peuple «palestinien». Les Arabes vivant en Terre d’Israël se considéraient comme Syriens ou Égyptiens.

     

    Une pseudo-nation créée le lendemain de la Guerre des Six jours

    «Pourquoi le soir du 4 juin 1967 j’étais Jordanien et le lendemain matin j’étais Palestinien ?»

     

    «Nous ne nous sommes pas en particulier occupés du règne jordanien. L’enseignement de la destruction de l’Israël était une partie intégrale du programme d’études. Nous nous sommes considérés «Jordaniens» jusqu’à ce que les Juifs soient revenus à Jérusalem. Alors soudainement nous étions des «Palestiniens»… ils ont enlevé l’étoile du drapeau jordanien et d’un coup nous avons eu un «drapeau palestinien».»

     

    «Le fait est que les «Palestiniens» sont des immigrés des nations environnantes ! Mon grand-père avait l’habitude de nous dire que son village était vide avant que son père ne s’y installe.»

     

    Walid Shoebat, ancien terroriste islamiste de l’OLP, repenti et devenu sioniste chrétien Le drapeau Jordanien Le «drapeau palestinien» proposé

     

    Zahir Muhsin, un ancien membre du comité exécutif de l’OLP et l’ancien commandant militaire de la même organisation, déclara en mars 1977 au journal néerlandais Trouw.

     

    «Il n’y a aucune différence entre les Jordaniens, les «Palestiniens», les Syriens et les Libanais. Nous faisons tous  partie de la même nation. C’est seulement pour des raisons politiques que nous soulignons soigneusement notre identité «palestinienne». L’existence d’une identité «palestinienne» distincte sert seulement un objectif tactique. La création d’un état «palestinien» est un nouvel outil dans la bataille continue contre l’Israël.»

     

    Et encore en s’adressant à un hebdomadaire pakistanais en 2006 :

     

    «Le peuple «palestinien» n’existe pas. La création d’un État «palestinien» est seulement un moyen de continuer notre lutte contre l’État d’Israël pour l’unité arabe. En réalité aujourd’hui il n’y a aucune différence entre les Jordaniens, les «Palestiniens», les Syriens et les Libanais. Seulement, pour des raisons politiques et tactiques, nous parlons aujourd’hui de l’existence des «Palestiniens» pour des intérêts arabes exigeant la création d’un peuple «palestinien» pour nous opposer au sionisme.»

     

    Vérité historique : le peuple «palestinien» et le pays «Palestine» n’existaient pas avant que les Arabes les inventent de toutes pièces pour éventuellement ANÉANTIR Israël.

     

    Cette affirmation peut sembler radicale, mais je vous conseille de lire l’article suivant :

     

     

     

    Palestinians – “Peoplehood” Based on a Big Lie [Myths and Facts]

     

    Voici quelques passages sélectionnés :

     

    «There is no age-old Palestinian people. Most so-called Palestinians are relative newcomers to the Land of Israel.

     

    Like a mantra, Arabs repeatedly claim that the Palestinians are a native people. The concept of a ‘Stateless Palestinian people’ is not based on fact. It is a fabrication.

     

    Palestinian Arabs cast themselves as a native people in “Palestine” – like the Aborigines in Australia or Native Americans in America. They portray the Jews as European imperialists and colonizers. This is simply untrue.

     

    Aerial photographs taken by German aviators during World War I show an underdeveloped country composed mainly of primitive hamlets. Ashdod, for instance, was a cluster of mud dwellings, Haifa a fishing village. In 1934 alone, 30 000 Syrian Arabs from the Hauran moved across the northern frontier into Mandate Palestine, attracted by work in and around the newly built British port and the construction of other infrastructure projects. They even dubbed Haifa Um el-Amal (“the city of work”).

     

    The fallacy of Arab claims that most Palestinians were indigenous to Palestine – not newcomers – is also bolstered by a 1909 vintage photograph of Nablus, today an Arab city on the West Bank with over 121 000 residents. Based on the number of buildings in the photo taken from the base of Mount Gerizim, the population in 1909 – Muslim Arabs and Jewish Samaritans – could not have been greater than 2 000 residents.

     

    Family names of many Palestinians attest to their non-Palestinian origins. Just as Jews bear names like Berliner, Warsaw and Toledano, modern phone books in the Territories are filled with families named Elmisri (Egyptian), Chalabi (Syrian), Mugrabi (North Africa). Even George Habash – the arch-terrorist and head of Black September – bears a name with origins in Abyssinia or Ethiopia, Habash in both Arabic and Hebrew.

     

    Palestinian nationality is an entity defined by its opposition to Zionism, and not its national aspirations. This point is admirably illustrated in the following historic incident :

     

    “In 1926, Lord Plumer was appointed as the second High Commissioner of Palestine. The Arabs within the Mandate were infuriated when Plumer stood up for the Zionists’ national anthem Hatikva during ceremonies held in his honor when Plumer first visited Tel Aviv. When a delegation of Palestinian Arabs protested Plumer’s ‘Zionist bias’, the High Commissioner asked the Arabs if he remained seated when their national anthem was played, ‘wouldn’t you regard my behavior as most unmannerly ?’ Met by silence, Plumer asked : ‘By the way, have you got a national anthem ?’ When the delegation replied with chagrin that they did not, he snapped back, ‘I think you had better get one as soon as possible’.” But it took the Palestinians more than 60 years to heed Plumer’s advice, adopting Anthem of the Intifada two decades after Israel took over the West Bank and Gaza in 1967 – at the beginning of the 1987 Intifada.»

     

    Six décennies après la déclaration d’indépendance d’Israël, nous pourrions nous attendre à ce que les Arabes arrêtent de jouer les victimes qui se font dérober leurs terres, mais non, le mythe perdure. On nous rappelle sans cesse dans les médias que les «colons» israéliens «occupent» la Judée-Samarie, qu’ils volent la propriété des «Palestiniens» et qu’ils y construisent incessamment des nouvelles «colonies».

     

    En fait, de 1950 à 1967, plus de 250 colonies arabes ont été fondées en Judée-Samarie et de 1967 à 2002, 261 autres colonies furent fondées par les Arabes (incluant Jérusalem et Gaza). Durand cette seconde période, seulement 144 «colonies» juives ont été fondées (incluant Jérusalem et Gaza).

     

     

     

    À ce jour, les Arabes continuent toujours à faire immigrer des milliers de colons en Israël. En 1998, Yasser Arafat déclare «Dans 5 ans, nous aurons 6 millions d’Arabes vivant en «Cisjordanie» et à Jérusalem. Nous pouvons importer des Arabes.» Le gouvernement israélien avoue avoir permis à 240 000 (mais le nombre réel est probablement beaucoup plus élevé) «travailleurs» arabes d’entrer dans les territoires depuis 1993, ces «travailleurs» sont restés dans les territoires et sont devenus des colons.

     

    Gaza ne comptait pas plus de 80 000 habitants «indigènes» en 1951. Comment est-il possible qu’en seulement 54 ans la population ait augmenté de 80 000 à plus de 1 300 000 habitants ? Ces Arabes de Gaza sont-ils capables de procréer d’une manière surnaturelle ? L’immigration massive est la SEULE explication plausible pour une augmentation démographique si forte. L’occupation arabe entre 1948 et 1967 était une occasion avantageuse pour les chefs arabes. Ils favorisèrent l’immigration massive de prétendus «Palestiniens» en Judée-Samarie/Gaza. Les immigrés venaient de chaque pays arabe, principalement l’Égypte, la Syrie, le Liban, l’Irak et la Jordanie.

     

    Il est impossible de connaître le nombre de colons arabes ayant immigré en Judée-Samarie/Gaza depuis 1952, mais une chose reste certaine : la majorité ÉCRASANTE des «Palestiniens» n’ont aucun héritage en «Palestine» avant la guerre d’indépendance d’Israël (et le reste ont, pour la grande majorité d’entre eux, aucune racine dans la région avant 1917, et la faible minorité restante n’en a aucune avant le 19e siècle).

     

     

     

    La «Palestine» n’est qu’une région géographique ; elle n’est ni un peuple, ni une nation, on ne peut donc en faire un État.

     

    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Gally pour Dreuz.info.

     

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     Antimaçonnisme — Wikipédia

    (Rappelez vous des guerres  incessantes du franc maçon criminel et esclavagiste Napoléon Bonaparte.  Il y a aussi d'autres francs maçons conquistadores:le maréchal Bugeaud pour l'Algérie et Jules Ferry  pour l'Indochine.Voir les articles sur ceux ci dans ce blog)

     

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    Le Pen et ses "frères" francs-maçons

     

    La candidate du Front national est parvenue à recruter deux francs-maçons pour son équipe de campagne. Une bravade qui déclenche un tollé dans les loges.

    Pour Gilbert Collard, "mariniste", l'engagement maçonnique ne date pas d'hier, car il a été initié dès la fin des années 1960.

     

     

    AFP

     

    Par François Koch

    publié le 06/01/2012 

     

     

     Marine Le Pen a convaincu deux avocats francs-maçons de lui prêter main-forte pour sa campagne présidentielle.

    Outre Maitre Collard,voici Maitre Valéry le Douguet.  

     

    "Membre de l'UMP, j'ai volontairement choisi le GODF pour qu'il y ait débat, confie Valéry Le Douguet. Je me suis fait des illusions sur l'humanisme des frères. Marine Le Pen n'est ni raciste ni xénophobe."

    N.P:

    (Selon le juriste monégasque Julien Didier Garofalo,Marine le Pen serait membre des francs maçons,voir ci-dessous)

     

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    LES MAIRES FRANCS-MAÇONS DÉMASQUÉS

    Un grand ménage des politiques s'impose !

    → par Julien Didier Garofalo, juriste monégasque

    (e-mail : juriste.professionnel@gmail.com / Tél. : 07 53 60 40 82)

    Quelques maires francs-maçons (parmi les 36 500 environ, en France) : Jean-Claude Guibal (Menton), Georges Marsan (Monaco), Christian Estrosi (Nice), Benoît Payan & anciennement Michèle Rubirola (Marseille), Jérôme Viaud (Grasse), Hubert Falco (Toulon), David Lisnard (Cannes), Robert Ménard (Béziers), Louis Aliot (Perpignan), Gérard Larrat (Carcassonne), Pierre Hurmic (Bordeaux), Didier Mouly (Narbonne), Martine Aubry (Lille), Jeanne Barseghian (Strasbourg), Joël Bruneau (Caen), Grégory Doucet (Lyon), François Cuillandre (Brest), Laurent Degallaix (Valenciennes), Brigitte Fouré (Amiens), Crescent Marault (Auxerre), Martine Joly (Bar-le-Duc), Frédéric Leturque (Arras), Anne Vignot (Besançon), Patrick Nardin (Épinal), Stéphane Le Foll (Le Mans), Gil Avérous (Châteauroux), Nathalie Appéré (Rennes), Olivier Bianchi (Clermont-Ferrand), Jean-François Fountaine (La Rochelle), Delphine Labails (Périgueux), François Astorg (Annecy), Gérard Trémège (Tarbes), François Bayrou (Pau), Michaël Delafosse (Montpellier), Éric Straumann (Colmar), …

    Départements où les préfets ne sont pas francs-maçons : Aisne (02), Hautes-Alpes (05), Ariège (09), Calvados (14), Charente-Maritime (17), Doubs (25), Drôme (26), Eure (27), Eure-et-Loir (28), Finistère (29), Gers (32), Indre-et-Loire (37), Isère (38), Loire-Atlantique (44), Loiret (45) & Lot-et-Garonne (47)

    → En France : 450 sous-préfets ; 250 préfets dont 128 sans affectation et 50 qui n'ont pas de missions réelles

    Quelques politiciens francs-maçons : Emmanuel Macron, Agnès Buzyn, Christophe Castaner, Édouard Philippe, Jérôme Salomon, Olivier Véran, Jean Castex, Gérald Darmanin, Marlène Schiappa, Gabriel Attal, Gérard Larcher, Richard Ferrand, Jean-Luc Mélenchon, Yannick Jadot, Xavier Bertrand, Marine Le Pen, François Hollande, Jean-Marc Ayrault, Manuel Valls, Christiane Taubira, Pierre Moscovici, Najat Vallaud-Belkacem, Arnaud Montebourg, Michel Sapin, Vincent Peillon, Jérôme Cahuzac, Jean-Yves Le Drian, Stéphane Le Foll, Marylise Lebranchu, Anne-Marie Escoffier, Fleur Pellerin, Benoît Hamon, Nicolas Sarkozy, Brice Hortefeux, …

    Quelques journalistes francs-maçons : Ruth Elkrief, Apolline de Malherbe, Jean-Jacques Bourdin, Marc-Olivier Fogiel, Margaux de Frouville, Christophe Delay, Olivier Truchot, Alain Marschall, Bruce Toussaint, Maxime Switek, Emmanuel Lechypre, Éric Brunet, Nathalie Levy, Christophe Barbier, Alain Duhamel, Olivier Mazerolle, Laurent Neumann, …

     

     





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