• Les arrières loges noires en franc maçonnerie

     

     

     

    Dr-Jekyll-y-Mr-Hyde - Culturaddict

     

     

     

     

     

    Image illustrative de l’article L'Étrange Cas du docteur Jekyll et de M. Hyde

     

     

     

     

     

     

     Franc-Maçonnerie et Schizophrénie

    Dr Jekyll & Mr Hyde...

    Par Alexandre Lebreton le 26 Février 2017

    Cet article a été rédigé à partir du livre MK

    Avertissement : Ce qui suit contient de graves allégations concernant des francs-maçons, cela reste

    des présomptions reposant sur des témoignages n'ayant pas fait l'objet d'enquêtes judiciaires. Il n'est

    pas question ici d'accuser globalement toute la Franc-maçonnerie de perpétrer des rituels sadiques et

    violents, il est probable que certains maçons opèrent sans le consentement de la majorité des membres

    de la loge. Le culte du secret sur lequel repose la Franc-maçonnerie pose un problème, voir un danger

    pour elle-même, car il lui est impossible de certifier que ce genre de pratiques rituelles "pédosataniques" n'existent pas dans certaines arrières loges. Le cloisonnement stricte de cette hiérarchie

    pyramidale fait que les initiés progressent "à l'aveugle" dans cette vaste secte et ses diverses

    ramifications.

    Le mot Schizophrénie provient du grec schizein (fendre) et phrên (esprit), littéralement "esprit fendu",

    la fragmentation de l'esprit, la dualité. Comme nous allons le voir, plusieurs choses permettent de

    relier la secte maçonnique à la schizophrénie - qu'elle a elle-même étudié de près comme nous allons

    le voir - et à la notion de dualité… à commencer par le symbole fort des loges : le pavé mosaïque en

    carreaux noirs et blancs, sur lequel les initiés prêtent serment : le choc des contraires, le multiple et

    l'Un, le bien et le mal interpénétrés et inséparables…

    La Franc-maçonnerie est double, elle possède deux natures en une seule. Les francs-maçons le disent

    eux-mêmes, tout ce qu'ils accomplissent en loge possède un double sens. Les rituels ont une

    signification autre que celle qu'ils auraient dans le monde profane (le monde des non-initiés). Le

    "Vénérable Maître" frappe un coup de maillet en début de tenue de loge et déclare : "Nous ne sommes

    plus dans le monde profane", sous-entendu nous sommes maintenant dans un monde sacré. Le

    "Vénérable Maître" pense ainsi sanctifier l'espace et le temps. En loge, le sens profond des actes et des

    paroles est caché, tout est différent, tout est fractionné et les mots n'ont plus le même sens, même les

    âges, les heures et les dates diffèrent. Les individus fraîchement initiés ne peuvent percevoir et

    comprendre la nature profonde du culte auquel ils ont déjà pourtant prêté serment et allégeance…

    Concernant ce secret maçonnique (véritable mille feuille) contenu dans un double langage symbolique

    que le jeune "frère" initié ne peut comprendre, le célèbre maçon Albert Pike écrit dans "Morals and

    Dogma" : "Comme toutes les Religions, tous les Mystères, l'Hermétisme et l'Alchimie, la FrancMaçonnerie ne révèle ses secrets à personne, sinon aux Adeptes, aux Sages et aux Elus. Elle a

    recours à de fausses explications pour interpréter ses symboles, pour induire en erreur ceux qui

    méritent d'être induits en erreur, pour leur cacher la Vérité, qu'elle appelle la lumière, et ainsi les

    en écarter (...) La Franc- Maçonnerie cache jalousement ses secrets, et induit intentionnellement

    en erreur ses interprètes prétentieux."

    Attardons nous sur l'aspect double de la secte maçonnique, et comme nous le verrons plus loin un

    aspect schizophrénique à la Dr. Jekyll et Mr. Hyde…

    Le célèbre franc-maçon Albert Mackey a affirmé que la Franc-maçonnerie moderne est le résultat

    d'une fusion entre une forme de maçonnerie corrompue et "noire" pratiquant les rituels initiatiques

    traumatiques issus des pratiques antiques païennes ; et une forme "pure" qui impliquait la croyance en

    un Dieu unique et dans l'immortalité de l'âme. Il affirme que cela confère à cette institution secrète

    un côté à la fois lumineux et à la fois obscur. Il définit ce côté obscur, cette forme de maçonnerie

    "parasitée", comme une sorte de maçonnerie noire aux pratiques initiatiques terrifiantes et

    traumatisantes, qui utilise la représentation symbolique de la descente mythique dans l'Hadès, la

    tombe ou l'enfer, pour ensuite revenir à la lumière du jour : la renaissance initiatique (l'expérience de

    mort imminente avec une sortie astrale étant l'ultime rituel initiatique : la résurrection).

    Il existe dans la Franc-maçonnerie deux faces dont l'une ignore l'existence de l'autre, ce qui peut-être

    traduit par "Les gentils ne connaissent pas les méchants, mais les méchants connaissent les gentils."

    Un schéma que l'on peut retrouver dans un système interne de trouble dissociatif de l'identité lorsque

    la personnalité alter "méchante" (Mr. Hyde) a parfaitement connaissance de l'existence de la

    personnalité alter "gentille" (Dr. Jekyll) tandis que celle-ci est totalement amnésique concernant les

    faits et gestes de la première… La personnalité alter "gentille" étant la façade publique, visible et

    bienveillante, le sommet éclairé d'un iceberg contenant tout un monde intérieur occulte, invisible…

    L'auteur franc-maçon Manly P. Hall a clairement décrit ces deux aspects bien distincts de

    l'organisation maçonnique : "La Franc-Maçonnerie est une fraternité cachée dans une autre

    fraternité : une organisation visible cachant une fraternité invisible des élus... Il est nécessaire

    d'établir l'existence de ces deux ordres séparés et pourtant interdépendants, l'un visible, et l'autre

    invisible. L'organisation visible est une splendide camaraderie composée "d'hommes libres et égaux,"

    qui se consacrent à des projets éthiques, éducationnels, fraternels, patriotiques et humanitaires.

    L'organisation invisible est une fraternité secrète, des plus augustes, majestueuse de dignité et de

    grandeur, dont les membres sont consacrés au service d'un mystérieux "arcanum arcandrum", c'est-àdire d'un mystère caché."

    Comprenez que les "Mystères cachés" ne peuvent être révélés d'emblée aux jeunes initiés, qui

    fuiraient alors la secte et ses doctrines en courant (le culte phallique, par exemple, n'est pas recevable

    d'emblée pour le quidam venant de se faire introniser en loge)… Ces Mystères sont infusés petit à

    petit dans l'âme du prétendant à l'illumination, une infusion maçonnique faisant au fur et à mesure le

    tri dans les âmes aptes à accéder (et assumer) à la réalité luciférienne de leurs loges.

    Notons également la grande schizophrénie spirituelle de la Franc-maçonnerie. Une situation

    extrêmement paradoxale où elle prône d'un côté la laïcité voir même l'athéisme et le matérialisme

    dans le monde profane, et d'un autre côté pratique elle-même dans ses coulisses l'occultisme le plus

    avancé… La Franc-maçonnerie déclare publiquement que "toute religion est aliénante", mais

    fonctionne elle-même avec des rites, des rituels, des cérémonies, une croyance commune notamment

    dans le GADLU (Grand Architecte de l'Univers), elle a ses "adeptes"... N'est-elle pas une religion ?

    C'est la religion de la république selon les propres termes du franc-maçon Oswald Wirth...

    Comme noté plus haut, Albert Mackey affirme que la Franc-maçonnerie a à la fois un aspect lumineux

    et un aspect obscur. Elle prend racine, entre autre, dans le Gnosticisme où nous retrouvons cette

    notion de "lumière" versus "obscurité", une chose essentielle dans la théologie gnostique.

    Certains survivants d'abus rituels et de contrôle mental rapportent bien comment les bourreaux ont

    volontairement cultivé chez eux ce fractionnement avec une partie de leur personnalité du "côté de la

    lumière" (en assistant par exemple aux messes chrétiennes) tandis qu'une autre partie de leur

    personnalité subi et participe aux pratiques malsaines et traumatiques : le "côté obscur" - Dr Jekyll &

    Mr Hyde -

    Nous constatons que la Franc-maçonnerie possède une face pouvant être qualifiée de "lumineuse",

    celle qu'elle aime mettre en avant dans le domaine public et profane : son grand "humanisme" et sa 

    très généreuse "fraternité". En effet, la philanthropie (culturelle, scientifique et humanitaire) est un des

    grands piliers de la secte maçonnique ; c'est la Franc-maçonnerie sous ses plus beaux apparats (tandis

    que paradoxalement les affaires crapuleuses, voir criminelles, sont pléthores chez les francs-maçons).

    Voir par exemple des membres du Rotary Club (groupe crypto-maçonnique, fondé et composé

    principalement de francs-maçons) vendre des boules de sapin de Noël dans une galerie de

    supermarché au profit d'enfants nécessiteux est "le côté lumineux des frères"… tandis que certains

    témoignages viennent troubler ce paisible décors en rapportant des viols en réunion sur des enfants

    lors de rituels, allant jusqu'au sacrifice de sang, impliquant des membres de ce même Rotary Club

    (voir le témoignage de Nathalie W.) : "le côté obscur des frères"… - Dr Jekyll & Mr Hyde -

    Selon les nombreux témoignages, tout porte à croire que ce "côté obscur" de la Franc-maçonnerie

    impliquerait du "pédo-satanisme" consistant à pratiquer les pires abominations sur de jeunes enfants

    (abus rituels). Les rituels servant de magie sexuelle pour les bourreaux qui font passer l'enfant par des

    traumatismes extrêmes servant "d'initiation" : c'est à dire provoquer de profonds états dissociatifs et

    ainsi "déchirer son âme", fractionner sa personnalité pour le contrôler totalement. Les rituels

    initiatiques traumatiques visant à créer de profonds états dissociatifs sont des pratiques psychospirituelles vieilles comme le monde, que l'on retrouve par exemple dans certaines traditions

    chamaniques.

    Le témoignage de Maude Julien rapporte cette notion d'initiation par les traumatismes visant à faire

    accéder l'enfant à d'autres dimensions. Elle décrit dans son livre "Derrière la grille" comment son

    père, un riche entrepreneur franc-maçon, lui a fait subir un conditionnement extrême visant à faire

    d'elle une "déesse" sous contrôle mental. Il l'obligeait par exemple à tenir un fil électrique en prenant

    des décharges pendant dix minutes - les chocs électriques étant un moyen très efficace pour créer de

    profonds états dissociatifs - Le but du père était de la rendre capable de circuler entre les univers et

    d'apprendre à communiquer avec les morts… bref, cet initié franc-maçon avait visiblement

    connaissance du fonctionnement du psychisme humain face aux traumatismes extrêmes et s'employait

    à expérimenter cela sur sa fille...

    Est-ce les enseignements occultes des loges maçonniques qui inspirent de tels projets pour créer des

    "êtres supérieurs", asservis et traumatisés pour devenir des médiums connectés à d'autres

    dimensions ? Les traumatismes extrêmes provoquent de profonds états dissociatifs qui "déverouillent"

    spirituellement l'enfant, permettant la connexion à d'autres dimensions. Existe-t-il des abus rituels

    maçonniques dont le but serait en quelque sorte d'initier l'enfant, c'est à dire créer chez lui une

    "illumination" lors de la dissociation ? Jusqu'où peut aller un initié pour recevoir la lumière... ou bien

    pour la donner à quelqu'un d'autre ? Pour initier un enfant par exemple ? Apprendre à souffrir et 

    apprendre à faire souffrir fait-il partie des ténébreuses initiations ?

    Selon l'écrivain et conférencier américain Fritz Springmeier, un des secrets des religions à Mystères,

    en particulier le culte Égyptien des Mystères d'Isis était la capacité d'utiliser les drogues, la torture et

    l'hypnose pour créer des personnalités multiples chez un être humain. Selon ses sources, des esclaves

    sexuels sous contrôle mental sont utilisés de nos jours dans les hauts degrés maçonniques et autres

    arrières loges noires. Une personnalité alter dissociée peut servir de prêtresse lors de certains rituels.

    Ces esclaves MK subissent des transes, des possessions démoniaques et toutes sortes de rituels

    pervers basés sur la magie sexuelle (le sacrifice vivant).

    Maragret Smith, l'auteur du livre "Ritual Abuse: what it is, why it happens and how to help", ellemême survivante d'abus rituels rapporte la présence d'une certaine philosophie gnostique derrière les

    sévices, mais aussi la présence de francs-maçons, d'insignes maçonniques ou de cérémonies de type

    maçonniques lors des rituels traumatiques.

    L'australienne Kristin Constance a également témoigné en 2011 avoir été victime d'abus rituels et de

    contrôle mental. Ses bourreaux n'étaient autres que ses grands-parents, fondateurs d'une loge

    maçonnique féminine (Ordre de l'Étoile Orientale).

    Le sociologue canadien Stephen Kent a rencontré de nombreuses personnes qui ont témoigné avoir

    subi des abus rituels de type maçonnique, notamment des enfants de francs-maçons : "Dès le début de

    mes recherches, des gens arrivaient avec des témoignages dont certains étaient liés avec des dérives

    maçonniques. Certaines personnes affirmaient que leur père avait été franc-maçon et que les abus

    étaient liés à une loge et à ses membres. Parfois, les violences semblaient avoir eu lieu à l'intérieur

    même des loges maçonniques, mais je ne peux pas le dire avec certitude. Ces apparitions de la francmaçonnerie dans un nombre assez important de témoignages m'a laissé vraiment perplexe."

    La canadienne Lynn Moss-Sharman, survivante et fondatrice du journal 'The Stone Angels' et porte

    parole de ACHES-MC Canada (Advocacy Committee for Human Experimentation Survivors &

    Mind- Control), a déclaré dans une interview avec Wayne Morris en 1998, que la franc-maçonnerie

    est un dénominateur commun dans les témoignages d'abus rituels et de contrôle mental. "Il y avait des

    conversations à ce sujet qui ont eu lieu lors des réunions, la crainte concernait cette connexion

    maçonnique. J'ai mis quelques petites annonces dans le "Globe & Mail" à ce propos ainsi que pour

    annoncer les conférences à venir. Ces quelques mots qui parlaient de la connexion maçonnique ont

    généré des appels téléphoniques et des lettres de victimes venant de tout le Canada. Des gens qui se

    décrivaient eux-mêmes comme des survivants d'abus rituels maçonniques, vivant encore dans la

    terreur. C'était toujours des filles de francs-maçons du Rite écossais ou des filles de Shriners

    (branche maçonnique). Des quatre coins du Canada, ces personnes ont commencé à témoigner sur

    des souvenirs de ce qui pourrait être décrit comme de l'expérimentation sur le contrôle mental.

    Cela a commencé à se manifester en Novembre 1994."

    Le témoignage de Lynn Brunet est particulièrement intéressant car elle met le doigt sur la question de

    la double personnalité des bourreaux qui pratiquent les rituels traumatiques et le contrôle mental sur

    les enfants. Son père qui était lui-même franc-maçon et rosicrucien a abusé d'elle lorsqu'elle était

    toute petite. Voici quelques extraits de son témoignage : "Alors que les années étaient passées, je me

    suis souvenue des abus sexuels de mon père lorsque j'étais enfant (...) Je découvrais aussi que les

    abus sexuels et l'inceste étaient tissés à travers l'histoire de la famille sur au minimum trois

    générations (...) De l'extérieur, ma famille semblait tout ce qu'il y a de plus normal, mais le poids

    accumulé de cette histoire familiale, chargée de traumatismes et de tensions, était un lourd fardeau à

    porter pour chaque génération (...) Au cours de ces dernières années, alors que les énigmes de ma

    propre expérience étaient résolues, j'ai essayé de leur parler de ce que je me souvenais.

    Heureusement pour moi, ma mère a été capable de se rappeler la nuit où mon père m'a violé à l'âge

    de quatre ans et donc de valider les déclarations de sa fille. Cependant, l'abus rituel allait au-delà de

    leur compréhension, ce qui se comprend à bien des égards. En milieu d'année 2004, mon père a

    commencé à développer la maladie d'Alzheimer. Durant la période initiale des troubles, dans un état

    altéré de conscience, il a commencé à me parler du côté obscur de son implication maçonnique. Il

    m'a alors avoué qu'il était au courant de l'existence de certains groupes qui utilisaient les rituels

    maçonniques dans des contextes de violence pour initier des enfants. Il m'a déclaré : "Il existe

    beaucoup de ces groupes, il y a beaucoup de gens qui sont au courant, mais ils n'en parlent pas car

    c'est embarrassant." Il avait avec moi des alternances de conversations cohérentes dans lesquelles il

    me parlait de son implication avec d'autres hommes dans ces groupes. Parfois le soir, il parvenait à

    sortir de la maison de retraite et il se mettait alors à grimper aux arbres à la manière d'un militaire

    en mission pour, croyait-il, observer les activités du culte afin "de sortir les enfants de la secte". Cette

    "mission stratégique" a duré pendant deux semaines jusqu'à ce qu'il ait cru avoir récupéré chacun

    des enfants. Après quoi il a semblé être très satisfait de ce qu'il avait accompli et tous les signes de

    son agitation intérieure se sont calmés (...) Les mémoires concernant les activités maçonniques

    irrégulières étaient clairement à attribuer à une certaine partie de son psychisme qui normalement

    n'est pas accessible à la conscience et elles s'étaient peut-être à ce moment-là entrelacées avec ses

    expériences de guerre. Il est possible qu'en soulevant cette question là, j'avais plongé mon père dans

    un conflit intérieur, ses pertes de mémoire ayant commencé juste après ma confrontation avec lui.

    Cependant, sa brève période d'honnêteté envers moi a sans aucun doute contribué à un processus de

    guérison mutuelle. Cette confession, combinée avec la connaissance de l'Ordre Maçonnique que j'ai

    pu acquérir, a réorienté mon attention afin qu'elle ne repose plus sur une colère envers l'homme luimême. Je suis aujourd'hui amenée à comprendre les principes qu'il y a derrière ces pratiques

    "magiques" séculaires, qui divisent le psychisme de ces hommes en deux: d'une part des citoyens et

    des hommes dévoués, et de l'autre, la plus puérile, absurde et cruelle des créatures humaines." -

    Dr. Jekyll & Mr Hyde -

    Les survivants de contrôle mental rapportent souvent que leur famille (généralement de rang social

    élevé) mène une vie publique tout à fait normale et respectable, le père de famille ayant une

    personnalité publique particulièrement adorable, tandis que sommeille en lui une personnalité on ne

    peut plus sadique et criminelle … C'est le cas de Cisco Wheeler dont le père, franc-maçon du 33ème

    degré, avait une image extérieure resplendissante, aimant sa famille et faisant du bon travail au sein de

    l'armée… mais en privé, il se révélait être un redoutable bourreau pratiquant la programmation

    mentale par les traumatismes sur sa propre fille… D'après elle, il était lui-même "programmé

    multiple", c'est à dire qu'il avait subi des traumatismes dans son enfance qui avaient fractionné sa

    personnalité.

    La survivante Brice Taylor rapporte que son bourreau de géniteur avait également une personnalité de

    façade totalement insoupçonnable. Extérieurement, il se comportait comme un homme charmant,

    personne n'aurait pu soupçonner ce qu'il pouvait faire en privé, les tortures qu'il infligeait à ses

    enfants, afin de les fractionner et de les programmer. Lui-même souffrait de sévères troubles

    dissociatifs…

    En matière de double vie "maçonnico-schizo", nous pouvons également citer le cas de Jacques

    Heusèle. Un notable d'Arras, franc-maçon et membre du Rotary Club, d'apparence respectable, un

    agent d'assurance prospère qui menait une double vie totalement ignorée de ses proches. Une

    existence parallèle liée aux réseaux de prostitutions, et probablement à l'organisation de ballets

    roses… Ce n'est qu'à sa mort que sa famille a découvert et compris qui il était vraiment - Dr Jekyll &

    Mr Hyde - Cependant l'histoire ne nous dit pas si Heusèle souffrait d'un dédoublement de la

    personnalité, d'un trouble dissociatif de l'identité.

    Un autre cas d'un notable menant une double vie et ayant vraisemblablement un fractionnement de la

    personnalité a été rapporté par le Dr. Richard Kluft dans son livre "Childhood Antecedents of Multiple

    Personality". Kluft décrit le cas d'un jeune homme de 22 ans qui a été soumis à un examen

    psychiatrique par un juge, la possibilité qu'il souffrait d'un trouble dissociatif de l'identité avait alors

    été envisagée. L'homme était poursuivi en justice pour le meurtre de son géniteur. Il a déclaré à la

    police que son père était un pharmacien réputé, un des "piliers" de la communauté locale et que ce

    dernier était impliqué dans du trafic de drogue et qu'il avait des connexions avec le crime organisé. En

    se basant sur les déclarations de l'inculpé, de sa famille et de sa femme, il a été décelé que le père

    avait très probablement lui aussi un trouble dissociatif de l'identité. Il était décrit comme un homme

    imprévisible qui entrait dans des rages inappropriées avec des changements de voix et des

    comportements inhabituels. L'inculpé tout comme certains membres de sa famille ont rapporté que le

    père agissait comme si "il était deux personnes différentes", affirmant qu'il était à la fois un "dealer de

    drogue" et un "pilier de la communauté" - c'est à dire qu'il avait d'un côté une activité criminelle

    occulte et de l'autre une façade publique très respectable - Dr Jekyll & Mr Hyde

    L'histoire ne nous dit pas si il était franc-maçon, mais son statut de notable pharmacien "pilier de sa

    communauté", peut laisser supposer qu'il appartenait à une loge quelconque.

    La psychiatrie, et en particulier la schizophrénie, semble beaucoup intéresser les Fils de la Veuve…

    En 1934, aux États-Unis, le Rite Écossais de la Franc-maçonnerie a rejoint la Fondation Rockefeller

    dans le financement de la psychiatrie génétique et inaugura un programme de recherche sur la

    schizophrénie. Depuis la création de cette fondation de "bienfaisance" (Scottish Rite Schizophrenia

    Research Program - SRSRP), le financement n'a cessé d'augmenter grâce aux contributions des

    membres de la fraternité maçonnique. Depuis 1934, c'est plus de 15 millions de dollars qui ont été

    alloués à ce programme de recherche sur la schizophrénie. Le but officiel du programme est de faire

    progresser la compréhension de la nature et des causes de la schizophrénie… C'est à l'hôpital St

    Elizabeth, Washington DC, qu'était basé à l'époque le SRSRP ; sous la houlette du Dr. Winfred 

    Overholser, un franc-maçon membre important de l’Association américaine de psychiatrie et lié aux

    expériences de manipulation mentale de l’armée américaine. L'hôpital St Elizabeth étant connu pour

    avoir plus tard hébergé des expérimentations sur le contrôle mental de la CIA (MK-Ultra).

    Les donations de la Franc-maçonnerie pour l'étude de ces troubles psychiques sont attribuées pour des

    projets clairement définis (orientation), plutôt que pour un soutien général des laboratoires. Un de ces

    projets était de financer le psychiatre eugéniste Franz J. Kallmann pour qu'il mène une étude sur 1000

    cas de schizophrénie, dans le but de mettre en avant le facteur héréditaire de la schizophrénie. L'étude

    de Kallmann a été publiée simultanément aux États-Unis et en Allemagne Nazie en 1938. De nos

    jours encore, certains spécialistes publient des études affirmant que la schizophrénie est d'origine

    génétique. Chose que réfute le Dr. Colin Ross en démontrant (dans cette conférence) la malhonnêteté

    de ces études "scientifiques". Le fait d'affirmer que la schizophrénie à une cause principalement

    génétique permet d'évincer toute cause environnementale, notamment les traumatismes sévères de la

    petite enfance (voir ce témoignage)… Et comme nous allons le voir, la schizophrénie est aujourd'hui

    une sorte de tiroir-fourre tout masquant la réalité du trouble dissociatif de l'identité.

    Schizophrénie et Trouble Dissociatif de l'Identité (TDI) sont en effet intimement liés. Au niveau

    phénoménologique, il existe un chevauchement important entre les symptômes des troubles

    dissociatifs (particulièrement le T.D.I.) et la schizophrénie. Une étude a montré qu'un groupe de

    patients diagnostiqués avec une schizophrénie par un psychiatre ou un psychologue, auquel vous

    faites passer un entretien standardisé lié aux symptômes dissociatifs a montré que 35 à 40 % de ces

    patients, censés être schizophrènes, en ressortiront avec le diagnostic de trouble dissociatif de

    l'identité. Inversement, dans un groupe de patient diagnostiqué avec un T.D.I. auquel vous faites

    passer un entretien lié aux symptômes schizophréniques, les deux tiers ressortiront avec un diagnostic

    de schizophrénie. Un groupe de 236 patients souffrant d'un T.D.I. a montré que 40,8 % d'entre eux

    avaient reçu auparavant un diagnostic de schizophrénie.

    Une étude menée avec la Dissociative Experience Scale a montré que 21 % des patients

    psychiatriques hospitalisés et 13 % des patients psychiatriques non hospitalisés présentent un score

    dissociatif supérieur au seuil pathologique. Ils en concluent que les troubles dissociatifs sont encore

    nettement sous-diagnostiqués. Dans une étude intitulée "Dissociation and Schizophrenia" parue en

    2004 dans le journal "Trauma and Dissociation", le Dr. Colin Ross et le Dr. Benjamin Keyes ont

    évalué les symptômes dissociatifs dans un groupe de 60 individus traités pour une schizophrénie. Ils

    ont trouvé que 36 sujets présentaient des caractéristiques dissociatives importantes, soit 60 % de leur

    échantillon. Ces symptômes dissociatifs étaient accompagnés d'un taux élevé de traumatismes dans

    l'enfance ainsi que d'importants troubles tels que la dépression, le trouble de la personnalité limite

    (Borderline) ou encore le T.D.I.. Que ce soit dans le cas du T.D.I. ou de la schizophrénie, la

    dissociation est quelque chose de sous-jacent, tout comme l'origine traumatique de ces troubles de la

    personnalité.

    En dépit des études qui ont clairement montré le lien entre troubles psychotiques et troubles

    dissociatifs, on remarque un fort déclin de l'utilisation du diagnostic de troubles dissociatifs. Ce déclin

    s'expliquerait notamment par l'introduction du terme "schizophrénie" pour décrire les patients

    montrant ce type de symptômes. Entre 1911 et 1927, le nombre de cas rapportés de personnalité

    multiple, aujourd'hui nommé T.D.I., a diminué de près de la moitié suite au remplacement du terme

    "dementia preacox" par "schizophrénie" par le psychiatre suisse Eugen Bleuler. Le Dr. Rosenbaum

    explique cela en détail dans son article "The role of the term schizophrenia in the décline of diagnoses

    of multiple personality" (le rôle du terme schizophrénie dans le déclin du diagnostic de personnalité

    multiple). Dans "Oxford Textbook of Psychopathology", Paul H. Blaney nous apprend qu'une

    recherche sur PubMed (le principal moteur de recherche de données bibliographiques de l'ensemble

    des domaines de spécialisation de la biologie et de la médecine) liée à la schizophrénie génère un

    résultat de 25 421 articles, tandis qu'une recherche liée au T.D.I. ne donne que 73 publications…

    Depuis plus de 80 ans, la Franc-maçonnerie a investie des millions dans la recherche sur la "dementia

    preacox", dite "schizophrénie"… qui comme nous venons de la voir est bien souvent causée par de

    sévères troubles dissociatifs… Pour quels résultats thérapeutiques ?? Les patients diagnostiqués de

    nos jours avec une "schizophrénie" se retrouvent sous une lourde médication chimique au profit des

    laboratoires pharmaceutiques (voir ce témoignage). Le pouvoir décisionnel des hautes loges

    maçonniques n'en a que faire du bien-être des "schizophrènes"… Par contre, lorsque l'on sait que la

    "schizophrénie" est liée à bien des égards au trouble de la personnalité multiple ou trouble dissociatif

    de l'identité, voir à la possession, dont sont atteints la plupart des survivants d'abus rituels et de

    contrôle mental, on commence à comprendre l'intérêt du lobby maçonnique à y investir pour contrôler

    et orienter les recherches dans ce domaine… notamment celles qui évincent le diagnostic de TDI au

    profit de "schizophrénie" ainsi que toute origine traumatique au profit d'une origine uniquement

    génétique.

    Sources :

    "Morale et Dogmes", Tome 1, Albert Pike, p.104

    "The Symbolism of Freemasonry: Illustrating and Explaining its Science and Philosophy, its Legends,

    Myths and Symbols" - Mackey, Albert G, 1955

    "Conférences sur la Philosophie antique", Manly P. Hall, p.433

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    MK : Le Livre

    « Pédo satanisme et franc maçonnerieLe livre noir des francs maçons »