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     (Le docteur Petiot)

     

    Le capitaine Valéri, alias Marcel P. : un médecin humaniste, socialiste et franc-maçon

    5 décembre 2022 Eric de Verdelhan 

     

    « Un crâne et des ossements…ont été découverts dans la nuit de vendredi à samedi dernier, dans un château abandonné situé sur la commune de Trébons (Hautes-Pyrénées), à une quinzaine de kilomètres de Lourdes. …Crâne, scalpels, échantillons de peau.… Au fil de leur exploration nocturne, (ils) finissent par faire une découverte glaçante : un crâne et des os probablement humains sont disposés et éparpillés à la façon des pièces d’un puzzle à même le sol. « Est-ce qu’il y a eu des sacrifices, s’interroge l’un d’eux. Ce qui est sûr, c’est qu’ils ont mené des rituels »…L’ex-propriétaire des lieux, dont l’appartenance à la Franc-maçonnerie est établie, n’était pas connu des services de police et de gendarmerie… »

     

    (Le Parisien du 2 décembre 2022)

     

     

     

    Un ami m’a fait parvenir cette information qui provient d’un coin des Hautes-Pyrénées que je connais bien car j’ai passé mon enfance à Tarbes où mon père était en garnison. On aurait trouvé des ossements humains dans un château en ruines appartenant autrefois à un médecin franc-maçon.

     

    L’affaire n’a pas fait grand bruit dans la presse. Comme j’ai l’esprit mal tourné, je ne peux m’empêcher d’imaginer le tintamarre médiatique auquel nous aurions eu droit si cette demeure avait appartenu à un notable d’Action Française, un édile du Front national ou mieux, si l’on avait fait cette macabre découverte dans un monastère catholique. Mais cette histoire glauque concerne un « fils de la veuve », un « frère la gratouille » comme disait Mitterrand, or la Franc-maçonnerie est un milieu qui aime avant tout la discrétion, bien qu’il s’en défende.

     

    Malgré les efforts d’Alain Bauer, Grand Maître du « Grand Orient de France » de 2000 à 2003, pour réhabiliter la Franc-maçonnerie, je connais son rôle – ô combien néfaste – dans la Révolution française et dans à peu près tous les scandales qui ont émaillé nos Républiques (surtout la III°, dite « République des Francs-maçons » et la V° où ils sont partout).

     

    « La Secte » ayant  la fâcheuse habitude de traîner en justice ceux qui osent la dénigrer, je me garderai bien de mettre tous les « frères trois points »  dans le même panier. Il existe sans doute des Maçons désintéressés, honnêtes et intègres, mais, tel le mouton à cinq pattes ou le poisson-volant, ils ne représentent pas forcément  la majorité de l’espèce. Depuis le « Carrefour du développement » des Frères Nucci et Chalier ou l’Affaire Urba-Gracco du frère Monate, et malgré la volonté d’une presse complice d’étouffer ou de minimiser les scandales, les affaires louches ou crapuleuses impliquant des Maçons se suivent, année après année, avec une régularité de métronome.

     

    Mais je ne vais pas m’attarder sur le sujet, Ghislaine Ottenheimer(1) ou Sophie Coignard(2), qui ne passent pas pour des journalistes d’extrême-droite, ont écrit des choses édifiantes sur cet État dans l’État que d’autres s’entêtent à ne pas voir.

     

    Ce fait divers survenu dans une ruine pyrénéenne m’a donné l’idée de vous parler aujourd’hui d’un autre médecin franc-maçon, une belle conscience de gauche, un humaniste, qui a été maire de son patelin puis conseiller général de son canton et, de surcroît, un grand résistant puisque, comme officier FFI, il était chargé de faire la chasse aux collabos à la Libération. J’ai raconté cette histoire dans un de mes livres (3), mais il va sans dire que je ne fais absolument « pas d’amalgame » et que ce récit ne saurait « stigmatiser » la communauté maçonnique.

     

    Marcel P. (conservons-lui pour l’instant l’anonymat) naît à Auxerre le 17 janvier 1897. Il est l’aîné de Félix P., employé des postes, et de Marthe Bourdon, sans emploi. Il est issu de la petite bourgeoisie bourguignonne, car son géniteur s’embourgeoise en devenant  receveur des postes de Joigny. Dès l’enfance, Marcel manifeste une intelligence vive – à 5 ans, il lit comme un enfant de 10 ans -, et une forte précocité, mais il est sujet à des accès de violence.

     

    Esprit retors, il serait allé jusqu’à distribuer des images pornographiques à ses condisciples de classes primaires, aurait tiré au revolver en pleine classe et aurait ébouillanté un chat. Ces racontars sur sa délinquance précoce ne sont cependant pas attestés, il peut s’agir de potins malveillants.

     

    Par la suite, il est renvoyé de plusieurs écoles ou collèges pour indiscipline.

     

    À 17 ans, il est arrêté pour avoir fracturé des boîtes aux lettres, non pour voler les mandats mais pour y lire les lettres et cartes postales. Il n’est pas condamné, un psychiatre l’ayant déclaré inapte à être jugé, estimant qu’il a une personnalité « bipolaire ».

     

    La Grande Guerre éclate et Marcel devance l’appel le 11 janvier 1916. Il est blessé au pied, d’un éclat de grenade, le 20 mars 1917. Accusé de vol à l’hôpital, il fait un premier séjour à la prison militaire d’Orléans avant son transfert en psychiatrie à Fleury-les-Aubrais. Là, les psychiatres le déclarent « neurasthénique, dépressif et paranoïaque ». Mais le pays a besoin de « chair à canon » et, malgré son état, il est renvoyé au front en 1918, avant d’être réformé pour troubles psychiatriques. La commission de réforme de Sens fixe son invalidité à 40 % et le déclare « réformé temporaire ». En 1920, une autre commission fixe son incapacité à 100 %, ramenée à 50 % en mars 1921.

     

    Chose surprenante, Marcel a repris des études de médecine entre temps : il obtient son doctorat de médecine de la Faculté de Paris, le 15 décembre 1921, avec mention « très bien ».

     

    En 1922, il ouvre un cabinet à Villeneuve-sur-Yonne où il devient rapidement très populaire en offrant aux indigents consultations et vaccinations. Car Marcel penche à gauche : il se dit socialiste et « humaniste ». Jean-Marc Varaut (4) écrit qu’il est soutenu par des « forces occultes », c’est un doux euphémisme pour dire qu’il est devenu Franc-maçon.

     

    Très vite, cet étrange docteur se fait remarquer par des tendances à la cleptomanie. Ses détracteurs l’accusent aussi de pratiquer des avortements clandestins et de fournir de la cocaïne aux drogués. Mais nous sommes sous la III° « Ripoux-blique » et sa réputation sulfureuse ne l’empêche pas d’être élu conseiller municipal en 1925, puis maire en 1926.

     

    Le 4 juin 1927, il épouse, à Seignelay, Georgette Valentine Lablais, fille d’un commerçant local, également  propriétaire du restaurant parisien « Chez Marius », situé  rue de Bourgogne.

     

    Mais, rapidement, il est poursuivi pour plusieurs délits : fausses déclarations à l’assurance maladie, détournements d’argent, utilisation frauduleuse de fonds publics en sa qualité de maire…

     

    « Médecin des pauvres », Marcel est déjà riche et choisit comme avocat un ténor du Barreau, maître René Floriot, lequel lui évite, à chaque fois, la prison ferme. Révoqué de son mandat de maire, en 1931, il se fait aussitôt élire conseiller général de son canton mais il est définitivement déchu de tout mandat électif, en 1934, pour avoir  trafiqué… son compteur électrique. C’est décidément un drôle d’oiseau ce toubib socialiste et humaniste ! Il commence sérieusement à sentir le soufre même auprès de ses « frères maçons ».  Sitôt révoqué, plusieurs affaires inexpliquées suscitent des rumeurs dans sa ville, entre autres, la disparition de sa bonne, Louisette, qui fut aussi sa maîtresse et l’incendie, pour le moins suspect, de la laiterie « Debove », dans lequel est morte la patronne de l’entreprise. Poursuivi par la justice pour plusieurs  délits, Marcel part s’installer à Paris en 1933. Et personne ne cherche à le retrouver. « Bizarre, bizarre, vous avez dit bizarre ! »

     

    À son arrivée dans la capitale, il ouvre un cabinet médical au premier étage du 66 rue de Caumartin, juste au-dessus d’un magasin d’objets religieux.

     

    Son entreprise est vite florissante : il inonde son quartier de tracts publicitaires dignes d’un charlatan, pour s’attirer des patients crédules et souffrant des maux les plus divers. Il y vante sa pratique de l’électrothérapie. Il se prétend également spécialiste en désintoxication, ce qui lui permet de délivrer des ordonnances de complaisance à des toxicomanes.

     

    En 1936, il est arrêté pour vol à l’étalage à la librairie Joseph Gibert, dans le quartier latin. Il affirme à ses juges qu’« un génie ne se préoccupe pas de basses choses matérielles ». Déclaré aliéné mental, il échappe à la prison mais est interné à la maison de santé d’Ivry pendant sept longs mois. La question de son état mental se pose alors : est-il fou ou a-t-il simulé la folie pour éviter la prison ?

     

    Un premier expert psychiatre le déclare « délirant et irresponsable » mais un second voit en lui « un individu sans scrupules, dépourvu de tout sens moral ». Rendu à la liberté en février 1937, il reprend ses consultations comme avant son internement et continue à s’enrichir.

     

    Le 11 août 1941, en pleine Occupation, il acquiert un hôtel particulier, à Paris, au 21 rue Le Sueur. Il y réalise d’importants travaux avec l’idée, dit-il, d’en faire une clinique.

     

    À partir de 1942, « le bon docteur des pauvres » devient résistant : il propose un passage vers l’Argentine à des gens poursuivis par la Gestapo. Les candidats au départ sont invités à se présenter chez lui, de nuit, munis d’une valise contenant bijoux, espèces et argenterie.

     

    Sous le pseudonyme de « docteur Eugène », il recrute deux rabatteurs : un coiffeur, Raoul Fourrier, et un artiste de music-hall raté, Edmond Pintard. Les candidats au voyage disparaissent tous, mystérieusement, sans atteindre l’Amérique du Sud. Une première victime disparaît le 2 janvier 1942.

     

    Il s’agit de Joachim Guschinow, un fourreur juif, voisin de Marcel. Il aurait donné à ce dernier l’équivalent de 300 000 euros en diamants. Yvan Dreyfus, prisonnier juif missionné par la Gestapo pour infiltrer le réseau  du « docteur Eugène » disparaîtra lui aussi sans laisser de trace.

     

    Après les personnes isolées, Marcel s’en prend à des familles entières en leur proposant des « tarifs de groupe ». Les victimes sont essentiellement des Juifs, mais aussi des malfrats désireux de se faire oublier. D’autres individus, risquant de le dénoncer, s’évanouissent dans la nature.

     

    Les services allemands finissent par découvrir le « réseau Eugène » grâce à un indicateur : un Français nommé Beretta. Marcel est arrêté, interrogé et torturé.

     

    Interné  pendant huit mois à la prison de Fresnes, il n’avoue rien et pour cause : il n’a aucun lien, aucun contact réel, avec la Résistance. Il est libéré le 13 janvier 1944, « contre une caution » (5).

     

    On est en droit de se demander, à une époque où les Allemands fusillaient ou déportaient le moindre suspect, pourquoi on l’a relâché si facilement. Encore une bizarrerie !

     

    On suppose qu’il décide alors de faire disparaître des indices compromettants : le 11 mars 1944, les pompiers sont alertés par des voisins qu’incommodent, depuis plusieurs jours, les odeurs pestilentielles provenant d’une cheminée de la maison (à l’abandon) située au 21 rue Le Sueur. Ils fracturent une fenêtre et pénètrent dans l’immeuble. Ils sont aussitôt alertés par le ronflement d’une chaudière. Dans la cave, ils découvrent des corps humains découpés, dépecés et prêts à être incinérés dans deux énormes chaudières-calorifères à bois.

     

    Pour la suite, il existe plusieurs versions des faits : certains auteurs prétendent que Marcel serait arrivé à bicyclette, se serait fait passer pour son frère Maurice, puis aurait quitté les lieux. Henry Sergg (6) suppose que Marcel se serait rendu au 93 rue Lauriston, au siège de la Gestapo française.  Son chef, Henri Lafont, aurait découvert ses crimes et, par chantage, l’aurait  contraint à travailler pour lui. Mais cette affirmation fantaisiste ne repose sur rien.

     

    Quoi qu’il en soit, Marcel s’est volatilisé ! Lors de perquisitions ultérieures, on découvrira rue Le Sueur un débarras contenant 72 valises et  655 kilos d’objets dont 1760 pièces d’habillement.

     

    En fuite, Marcel rejoint, sous une fausse identité, les FFI dans lesquelles il est intégré comme lieutenant. Qui lui a procuré cette fausse identité ? Qu’est-ce qui justifiait son grade ? Toujours est-il qu’« on » s’empresse… de le nommer capitaine (à quel titre ?) : le « capitaine Valéri » (7).

     

    Il est affecté à la caserne de Reuilly. Là, le capitaine Valéri, (qui prendra également le nom de « docteur Westerwald ») est nommé officier de Sécurité Militaire, chargé de l’épuration des traîtres et des collaborateurs : ce « grand résistant », torturé par les Allemands et, à ce titre, respecté par ses subalternes, trouve que l’épuration est trop tendre et pas assez expéditive; on croît rêver !

     

    À la Libération de Paris, un mandat d’arrêt est lancé contre Marcel qui reste introuvable. En septembre 1944, Jacques Yonnet, lieutenant à la DGER, publie dans le journal « Résistance » un article provocateur intitulé « Marcel P….., soldat du Reich ». Marcel, imprudent, utilise son droit de réponse. En adressant au journal une lettre manuscrite, il tombe dans un piège. Le journal n’est diffusé que dans la capitale et en banlieue, la police en déduit donc qu’il se cache à proximité et sans doute au sein de la Résistance. Elle compare son écriture – facilement identifiable – à celle de tous les officiers FFI parisiens. Finalement, l’inspecteur Henri Soutif  l’arrête le 31 octobre 1944 à la station de métro  « Tourelle ». On trouve sur lui un revolver chargé, une carte des « Milices Patriotiques » et plusieurs cartes d’identité. Cette arrestation traduit les ambiguïtés de cette époque : celui qui a failli l’arrêter, le commissaire Massu, est en prison. Dans l’entre-deux-guerres, il était le «flic le plus célèbre de France». Il avait servi de modèle à Georges Simenon pour créer son personnage de Maigret. A la Libération, Massu, « l’homme  aux 3257 arrestations », est arrêté, accusé de collaboration. En prison, il fait une tentative de suicide. Blanchi, il sort de Fresnes, après huit mois d’internement. C’est un homme brisé, qui part en retraite quelques mois plus tard. Et celui qui a finalement arrêté Marcel, Henri Soutif, était en fuite lors du procès. Poursuivi pour crimes de collaboration, il ne sera jamais retrouvé.

     

    L’enquête met au jour la complicité du frère de Marcel, Maurice, commerçant à Auxerre ; de sa femme Georgette ; de sa belle-fille et maîtresse Léonie Arnaux ; d’Albert Neuhausen, marchand de cycles à Courson-les-Carrières, chez qui ont été retrouvées des valises. Avant l’ouverture du procès, on inculpe son épouse et Neuhausen de recel et son frère d’homicide involontaire. Ils bénéficieront finalement d’un non-lieu. Ce n’est jamais qu’une bizarrerie de plus dans cette affaire !

     

    Celui que la presse baptise « docteur Satan » est jugé du 18 mars au 4 avril 1946, par la Cour d’assises de la Seine, pour 27 assassinats, dont ceux de 12 israélites et de 4 proxénètes accompagnés chacun de sa « gagneuse ». Dès le deuxième jour du procès, par fanfaronnade, il revendique 63 meurtres. Il affirme qu’il s’agit de cadavres de traîtres, de collaborateurs et d’Allemands. Jusqu’au bout, il prétend avoir tué « pour la France ». Il explique, le plus sérieusement du monde, que son réseau, nommé « Fly Tox » – marque très connue d’un insecticide et allusion ironique à la chasse aux mouchards – avait été démantelé par les Allemands.

     

    Durant les auditions, il montre une attitude désinvolte et va même jusqu’à s’endormir.

     

    Malgré la plaidoirie de six heures prononcée par maître René Floriot, il est condamné à mort pour 24 meurtres. Au matin de l’exécution, l’avocat général Pierre Dupin le réveille en lui disant : « Ayez du courage, c’est l’heure », il rétorque : « Tu me fais chier ! ». Et quand il lui demande s’il a quelque chose à déclarer, il répond : « Je suis un voyageur qui emporte ses bagages ». Ses paroles rappellent étrangement celles de Landru. Le 25 mai 1946, il est guillotiné dans la cour de la  Santé.

     

    La fortune amassée par Marcel… Petiot – vous aurez compris que c’est de lui qu’il s’agit – n’a jamais été retrouvée mais, après la guerre, sa famille est partie vivre en Amérique latine. On se demande, bien sûr, avec quel argent  elle a pu émigrer puis vivre confortablement là-bas ?

     

    L’histoire tient parfois à peu de choses : si, le 11 mars 1944, des voisins n’avaient pas été incommodés par les odeurs et les fumées sortant de l’hôtel de la rue Le Sueur, on peut supposer que le « capitaine Valéri » (sans doute devenu colonel entre temps ?) aurait continué sa carrière avec les honneurs dus à un grand résistant. Peut-être serait-il devenu député  ou sénateur ? Peut-être même le « docteur Eugène » (ou « Westerwald ») aurait-il écrit ses mémoires et – pourquoi pas  – l’histoire  du réseau de Résistance « Fly-tox » ? Peut-être même aurait-il laissé son nom à des rues, des places, des avenues… ou une Loge ? Mais avec des « Si », c’est connu, on mettrait Paris en bouteille.           

     

    Eric de Verdelhan

    (Source:Riposte Laïque)

     

    1)- « Les Frères invisibles » de Ghislaine Ottenheimer (avec Renaud Lecadre) ; Albin Michel ; 2001.

     

    2)- « 100 questions sur les francs-maçons », de Sophie Coignard ; La Boétie ; 2013.

     

    3)- « Mythes et Légendes du Maquis » publié aux éditions Muller ; 2019.

     

    4)- « L’abominable docteur Petiot » de Jean-Marc Varaut ; Paris ; Balland ; 1974.

     

    5)- « L’affaire Petiot » de Jacques Perry et Jane Chabert ; Paris ; Gallimard ; 1951.

     

    6)- « Petiot : le docteur diabolique » d’Henry Sergg ;  Éditions Dualpha ; 2008.

     

    7)- Valéri est parfois orthographié Valéry.  

     

    Autres sources :

     

    « Le cas du Dr Petiot » d’Albert Massui ; Bruxelles, EDC, 1944. – Ouvrage publié du vivant de Petiot.

     

    « L’affaire Petiot. Le crime ne paie pas » de Claude Barret ; Gallimard ; 1958.

     

    « Les assassins » d’Alain Decaux ; Perrin ; 1986.

     

    « L’effrayant docteur Petiot : fou ou coupable ? » de Claude Quétel ; Perrin ; 2014.

     

    « Le Secret des Francs-maçons ». Éditions de Chiré, 1979.

     

    « Un État dans l’État : Le contre-pouvoir maçonnique ». Paris, Éd. Albin Michel, 2009.

     

    « Les Francs-maçons sous l’Occupation ». Paris, Éd. Albin Michel, 2016.


  • Image 

     (Le clown Zélinsky)

    Zélinsky est issu d'une famille bourgeoise ukrainienne juive.Et il se revendique lui - même  comme juif.Ce n'est donc un secret pour personne.

    Par contre ce qui est plus secret c'est sa signature maçonnique que l'on trouve sur l'encyclopédie Wikipédia.Parmi ses attitudes,on remarque aussi son bras droit replié en équerre sur son coeur gauche,une attitude typiquement maçonnique.

    Il fait donc partie de la mafia maçonnique.C'est ce qui explique l'accointance de tous réseaux maçonniques européens et spécialement des USA.Ceux ci se concentrent actuellement en Ukraine avec tous les milliards envoyés par les américains et l'appui des armes les plus sophistiquées.

    Biden dans un de ses discours a expressément parlé du nouvel ordre mondial à construire.

    Or,ce nouvel ordre ordre mondial (N.O.M) est justement le but de la franc maçonnerie.

     Ce sigle nouvel ordre mondial apparaît sur le billet de 1 dollar américain.Les Etats Unis ont été fondés par des francs maçons et pratiquement tous les présidents américains sont francs maçons.

    Gendarmes du monde,ils appliquent à leur façon la charia de l'oligarchie et de la ploutocratie,présentées comme étant le nec plus ultra du monde libre.D'où leurs guerres incessantes à travers le monde qui sèment la mort et la pagaille partout.

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    Voici la signature maçonnique (3 points) du juif Zélinsky

    (Source Wikipédia)

     Signature de Volodymyr ZelenskyВолодимир Зеленський


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    Quand Zélinsky jouait du piano avec son sexe

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    Source: encyclopédie Wikipédia.

    On remarque les 3 points.

    Le 3° point à droite est plus discret.

    Zélinsky affirme par ailleurs avec

    orgueil sa judéïté.Il faut signaler aussi que c'est le milliardaire juif Soros qui l'a aidé à prendre le pouvoir.

    Il faut signaler que la plupart des symboles de la franc maçonnerie sont empruntés aux juifs.C'est donc à bon droit que l'on peut parler de judéo-maçonnerie.

    La franc maçonnerie qui est universaliste est la contre France.Elle agit contre les intérêts de la France.

    Voir à ce sujet le livre de Mr Jouin:"la guerre maçonnique" (1919)

    Résultat d’images pour la signature de zelinsky


  • Portrait en couleur du président Truman dans les insignes de grand maître de la Grande Loge du Missouri, poste qu'il a occupé de 1940 à 1941. Ce portrait, peint par Greta Kempton, a été dévoilé en 1949. (NLHST # 67-938).  Le président Truman a rejoint les maçons en 1909. Le 19 octobre 1945, il a été couronné maçon de rite écossais du 33e degré.  Ordre maçonnique, Art maçonnique, Loge maçonnique, Symboles maçonniques, Présidents américains, Présidents américains, Histoire américaine, Harry Truman, Tubal Cain 

     

    Truman,président franc maçon des Etats Unis lache 2 bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki.Voir mon article sur ce blog

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    Complément:

     

     

    Nagasaki « choisie » et rasée par le franc-maçon Truman, parce que catholique ?

    8 août 2022 Jean-Pierre Aussant 

     

     

     

    Quand le 9 août 1945 le Président américain Truman (ancien petit commerçant droguiste new-yorkais qui, ayant fait faillite, finit par « entrer » en politique), franc-maçon et grand maître de la loge du Missouri, a choisi la ville de Nagasaki pour le largage de la deuxième bombe atomique « fat man », cela contrairement aux idées reçues, ce ne fut pas motivé par des raisons militaires et techniques (il n’y en avait aucune de sérieuse) mais parce que c’était la capitale du catholicisme au Japon. 

     

    En rasant Nagasaki, Truman fit d’une pierre trois coups :

     

    1) Il mit certes fin à la guerre (encore que la guerre était au fond déjà gagnée par les USA) ;

     

    2) il affirma sa supériorité technologique vis-à-vis de Staline et de l’URSS, et ce pour être en position de force lors des négociations à venir ;

     

    3) Il se débarrassa de l’Église catholique au Japon qui était justement très florissante dans la ville de Nagasaki.

     

    Notons, en outre, que même Hiroshima était une des villes japonaises qui comptait une importante communauté catholique… Eh oui, les deux villes martyres japonaises étaient aussi les deux villes « cathos ». Étrange hasard, non ?

     

    http://lacaste3points.eklablog.com/l-humanisme-franc-macon-bombes-atomiques-sur-les-civils-a-hiroshima-et-a179750402

     

    Étant donné, à ma connaissance, que j’ai été le seul à faire le lien entre la haine maçonnique contre l’Église (dont Truman était le représentant du moment) et le choix de Nagasaki comme deuxième ville japonaise à être rayée de la carte, j’ai décidé de réaliser cette vidéo. Je précise en outre que la fameuse phrase de l’ancien ministre français Vincent Peillon « tant qu’il y aura des catholiques en France, ce pays ne pourra pas être libre » (qui, en creux, était une sorte d’invitation au meurtre à peine voilée), m’a probablement aidé à avoir ce déclic.

     

     

    Bien évidemment le peuple américain, pas plus que le peuple français, n’est responsable de la trahison de ses élites. Mes critiques ne s’adressent donc pas au « peuple » mais à ses dirigeants.

     

    Jean-Pierre Aussant (Source riposte laïque)


  • Résultat d’images pour image satirique des francs maçons 

     

     

     

    Didier-Julien Garofalo combattant anti-francs-maçons, arrêté à 6 h à domicile 

    28 octobre 2022 Jacques Chassaing 

     

     

    C’est le journaliste Richard Boutry qui a donné l’information de l’arrestation du juriste monégasque vivant dans le midi de la France, Didier-Julien Garofalo.

     

    Richard Boutry En Direct 25 Octo Urgent Didier Garofalo arrêté !

     

     

     

    Pour situer cet homme intègre qui se bat depuis 30 ans contre les méfaits de la franc-maçonnerie, voici, en juin 2020, l’acte fondateur qu’il avait énoncé en s’adressant à Emmanuel Macron : 

     

    « En trois années de présidence avec votre gouvernement de francs-maçons véreux, vous avez mis la France à genoux… avec les complicités d’Édouard Philippe, Agnès Buzyn, Olivier Véran, Jérôme Salomon, vous avez installé sciemment le chaos en France afin de masquer votre bilan désastreux. Votre responsabilité est en cause avec votre gouvernement de criminels au service du nouvel ordre mondial qui veut exterminer le peuple de France et tous les autres peuples. 

     

    Historiquement depuis la Révolution française, la franc-maçonnerie a pris le contrôle de la France mais aussi des peuples souverains. Peuple de France, nous vous laissez pas faire ! Rassemblez-vous autour de l’émergence du 4e pouvoir. » https://ripostelaique.com/la-guerre-de-didier-julien-garofalo-contre-les-mefaits-des-francs-macons.html

     

    Et Didier-Julien Garofalo de traquer inlassablement les francs-maçons impliqués dans de nombreuses affaires judiciaires, ainsi que ceux au pouvoir, acteurs au quotidien de la destruction de la France et de l’identité française.

     

     

    Le scandale de Monaco avec la France dénoncé par Garofalo 

     

    Classements sans suite, principe du contradictoire non respecté, mépris des juges, avocats marrons, honoraires excessifs, pièces absentes de la procédure, magistrat franc-maçon qui protège policier franc-maçon, faux procès verbaux etc., le sombre tableau du pouvoir judiciaire en France expliqué par ceux qui le subissent https://ripostelaique.com/macron-et-belloubet-interpelles-sur-une-justice-de-francs-macons.html

     

    L’éclairage de DJ Garofalo met aussi en lumière un Parlement qui n’est plus qu’un guichet de validation des politiques décidées par les Loges.

     

    Il détient la liste des 260 000 francs-maçons en France, et a dénoncé les agissements malhonnêtes de certains.

     

    Il se sait donc en danger.

     

    Mais bien évidemment, JuJu (sobriquet de l’une de ses ex-chaînes FaceBook) a pris ses précautions en matière de doubles de clés USB, comme de remise de documents à de sûrs compagnons de combat, au cas il serait victime d’un malencontreux accident.

     

    Depuis quelques semaines, Didier-Julien Garofalo avait disparu des réseaux sociaux. Ses chaînes censurées à répétition ne laissaient augurer rien de bon.

     

    JULIEN D GAROFALO EXPLIQUE LA PLAINTE AUPRÈS DE LA COUR PÉNALE INTERNATIONALE

     

    https://youtu.be/MuG8YfAAeiI

     

    Cassandre Fristot sur les francs-maçons, en conférence pour Égalité & Réconciliation 

     

    https://youtu.be/1sAxpbLp5Ro

     

    Les super-loges internationales – La haute maçonnerie luciférienne

     

    https://youtu.be/YhH_7EFOku8

     

    Les papes et la franc- maçonnerie (2) : Abbé Gabriel Billecocq

     

    https://youtu.be/UMAFCcgfzJ4

     

    Johan Livernette – Une loge maçonnique dirige le Vatican

     

    https://youtu.be/-VlO45GjM4k

     

    Johan Livernette – Aux sources de la franc-maçonnerie

     

    https://youtu.be/PYEtV3yQ80g

     

    Johan Livernette – République maçonnique contre France catholique

     

    https://youtu.be/1Oc_soyrkyY

     

    MK Abus rituels, contrôle mental et Nouvel Ordre Mondial

     

    https://youtu.be/Ve0IU7wpOaQ

     

    Les combats de Didier-Julien Garofalo

     

    La guerre de Didier-Julien Garofalo contre les méfaits des francs-maçons

     

    23 juin 2020 Jacques Chassaing 

     

    https://ripostelaique.com/la-guerre-de-didier-julien-garofalo-contre-les-mefaits-des-francs-macons.html

     

    Garofalo balance les noms des francs-maçons : explosif !

     

    6 octobre 2020 Jacques Chassaing

     

    https://ripostelaique.com/garofalo-balance-les-noms-des-francs-macons-explosif.html

     

    La grande frousse des magistrats devant l’open data

     

    7 février 2020 Jacques Chassaing 

     

    https://ripostelaique.com/la-grande-frousse-des-magistrats-devant-lopen-data.html

     

    Macron et Belloubet interpellés sur une justice de francs-maçons

     

    6 novembre 2019 Jacques Chassaing 

     

    https://ripostelaique.com/macron-et-belloubet-interpelles-sur-une-justice-de-francs-macons.html

     

    Macron mande les francs-maçons pour sauver sa République

     

    4 août 2020 Jacques Chassaing 

     

    https://ripostelaique.com/macron-mande-les-francs-macons-pour-sauver-sa-republique.html

     

     

    Jacques CHASSAING

     

    (Source Riposte laïque)