• Le comte 3 points Richard Kalergi,aux origines du projet politique secret de l'UE

     

     

     

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    Richard Kalergi

     

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    Richard Kalergi, père fondateur de l’UE : un projet politique secret

    30 juillet 2023 Jean Saunier POINT DE VUE 15

     

     

     

    Un des principaux protagonistes du processus européen planifie et programme le génocide des peuples européens. Les masses ignorent l’existence de cet obscur personnage.

    L’Union des Nations européennes est programmée dès 1922 par Richard Kalergi, le comte Richard Nikolaus Eijiro von Coudenhove-Kalergi, né Aoyama Eijirou, (1894-1972), un aristocrate austro-hongrois, puis tchèque, de mère japonaise.

     

    Richard Kalergi est un des inspirateurs importants des « Pères de l’Europe ».

    En 1922, il publie un manifeste intitulé Pan-Europa.

    En 1925, il publie un essai politique, « Praktischer Idealismus ».

    Dans ces deux ouvrages, il développe sa vision des Etats-Unis d’Europe, vision qui sera à la base de la CECA, Communauté Européenne du Charbon et de l’Acier, de la Communauté Européenne, puis de l’Union européenne.

     

    En 1922, Kalergi crée à Vienne le mouvement politique paneuropéen qui défend l’idée d’une Europe unifiée politiquement, économiquement, militairement, dans une communauté de droit fondée sur la paix, la liberté et les valeurs chrétiennes.

    L’unification de l’Europe aurait été le premier pas vers un gouvernement mondial unique.

    La montée du fascisme en Europe stoppe le déroulement de ce plan, et l’Union paneuropéenne est contrainte de se dissoudre.

     

    Kalergi est à l’origine de la monnaie européenne et de l’hymne européen, l’Hymne à la joie, qu’il avait proposé en 1929 comme symbole unificateur de la future Europe.

    Après la Seconde Guerre mondiale, il réussit à faire accepter son projet au gouvernement des Etats-Unis, grâce à une frénétique et infatigable activité, grâce à l’appui de Winston Churchill, grâce au concours d’une loge maçonnique, grâce au service d’importants quotidiens comme le New York Times.

     

    Dans son livre « Praktischer Idealismus », il déclare :

    « Les habitants des futurs Etats-Unis d’Europe ne seront plus les peuples d’origine du vieux continent, mais plutôt une sorte de SOUS-HUMANITÉ BESTIALE issue de mélanges raciaux. Il est nécessaire de croiser les peuples européens avec les Asiatiques et les Noirs pour créer un TROUPEAU MULTIETHNIQUE sans qualité spécifique et facile à dominer pour les élites au pouvoir. L’homme du futur sera de sang mêlé. La future race eurasiato-négroïde remplacera la multiplicité des peuples. Il faut abolir le droit à l’autodétermination des peuples et successivement éliminer les nations en utilisant les mouvements ethniques séparatistes ou l’immigration allogène, étrangère de masse ».

     

    Dans sa vision européenne, Kalergi défend la reconnaissance d’une « geistigen Führerrasse Europas » ou élite intellectuelle. Pour cette haute bourgeoisie, la notion de « Herrenrasse », ou RACE DES SEIGNEURS, prend tout son sens.

    Kalergi prône une « eurasisch-négroide Zukunftsrasse », future race à inventer, unique, indifférenciée, métissée. Il défend un projet de séparer une élite éclairée du reste de l’humanité. Cette fine fleur de la société se reproduirait par un principe de « Freie Ehe…aus den göttlichen Gesetzen erotischer Eugenik », sorte d’union libre, fruit des lois d’un eugénisme divin.

     

    C’est la personnalité qui compte et non plus l’appartenance à un peuple.

    Les autres doivent se satisfaire de leur condition de « Mindervertige », RACE INFÉRIEURE.

    Kalergi fait également une critique radicale du sentiment national. Il recommande « eine Soziale Eugenik », un eugénisme social et culturel, indolore et progressif, favorisant l’émergence d’une société de caste inégalitaire, radicalement à deux vitesses, et un modèle juridique social adapté.

    Autrement dit, Kalergi est inspirateur d’une Europe du peuple, par opposition à une Europe des nations. Il est partisan d’un eugénisme particulier, race unique, indifférenciée, eurasien-négroïde.

    Cette Europe se développe par la révolution technique. Cette Europe est dirigée par une élite auto proclamée, nouvelle aristocratie européenne éclairée et de droit divin, déconnectée du peuple considéré comme une RACE INFÉRIEURE.

     

    Kalergi est lui-même noble et son mouvement a été présidé après lui par un Habsbourg.

    Le projet Kalergi est aux antipodes du Mein Kampf d’Hitler, mais on y retrouve les mêmes principes. Un Führer investi d’une mission divine. Une élite aristocratique. Un peuple soumis à cette élite. Une race de sous-hommes, les Untermenschen pour Hitler, les Mindervertige pour Kalergi.

    Les Juifs ne sont pas la cible dans l’utopie de Kalergi. Son épouse est juive et lui-même est philosémite, favorable aux Juifs. Il considère que le brassage métissé des Juifs est l’exemple même de peuple de race unique dissociée de l’appartenance à une nation.

     

    Kalergi ne passe pas par la solution finale d’Hitler pour « nettoyer l’Europe ».

    Il suffit d’avoir la patience et les peuples européens se métisseront au fil du temps, diluant ainsi leurs origines. Toutefois, l’élite n’est pas tenue à se métisser.

    Kalergi met en exergue l’exemple des Etats-Unis. A ses yeux, ils sont le prototype d’une telle société, par la technique, l’élite, le métissage.

    La politique européenne applique le plan Kalergi. Hitler désirait la création de la race pure aryenne. Les dirigeants européens désirent la création de la race pure métissée.

     

    Dans un discours prononcé le 15 avril 2007 à Paris, Ségolène Royal fait l’éloge de la France métissée: « La France présidente est une France métissée, fière de sa diversité. C’est une chance dans le monde actuel et JE VEUX que tout le monde le comprenne et le METTE EN PRATIQUE. »

    Dans un discours prononcé à Palaiseau, dans l’Essone, le 17 Décembre 2008, Nicolas Sarkozy, Président de la République, manifeste sa volonté du métissage.

    « L’objectif, ça va faire parler, l’objectif, c’est relever le défi du métissage, défi du métissage que nous adresse le XXIee Siècle. Ce n’est pas un choix, c’est une OBLIGATION, c’est un IMPÉRATIF. On ne peut pas faire autrement, au risque de nous trouver confrontés à des problèmes considérables. »

     

    Favoriser la venue en Europe du plus grand nombre d’immigrés, c’est la base du plan Kalergi dont on voit les effets. L’immigration de masse est un phénomène dont les causes sont habilement cachées par le système. La propagande multiethnique s’efforce de nous persuader que l’immigration est une conséquence inéluctable de l’histoire. Mais ce n’est pas un phénomène spontané. En réalité, il s’agit d’un plan étudié sur papier et préparé depuis des dizaines d’années pour détruire complètement le visage du vieux continent.

    Aucun livre d’école, aucun journal, aucune émission de télévision, ne parle de Kalergi, mais ses idées ont inspiré l’Union européenne. Sa conviction est à la base de toute la politique européenne face à l’intégration et à la défense des minorités : les peuples européens doivent être croisés avec les Noirs et les Asiatiques pour détruire leur identité et créer une unique race métissée.

     

    TOUT CELA N’EST PAS DÉCIDÉ POUR DES RAISONS HUMANITAIRES ET CHARITABLES. Ces directives sont promulguées avec une détermination impitoyable pour réaliser LE PLUS GRAND GÉNOCIDE DE L’HISTOIRE, LE GÉNOCIDE DES NATIONS EUROPÉENNES.

    Le mouvement paneuropéen existe toujours et forme un groupe parlementaire européen, le Parti populaire européen, 120 députés en 2018.

    Kalergi a promu la CECA qui crée l’Europe. Ainsi, l’Europe des « Pères fondateurs » est née dans le berceau des idées racistes et autoritaires de Kalergi. L’Europe que nous connaissons est une application des thèses de Kalergi, thèses toujours d’actualité.

     

    Kalergi combat les idées de frontière et de nation, causes de guerres. Pour lui, la vigueur de l’Europe est liée à l’accueil d’une immigration asiatique et africaine, génératrice de brassage ethnique.

    Selon lui, le métis est plus souple, moins revendicatif et ne s’identifie pas à une nation, du moins à une nation européenne. Les peuples « purs » se reproduisent selon un même schéma, avec la même éducation, la même mentalité, la même culture. Il faut donc combattre la famille qui perpétue les traditions et le nationalisme. L’élite européenne, elle, est de droit divin.

     

    Les idées de Kalergi sont plus que jamais d’actualité: Europe multiculturelle, dictature de la Commission, portes ouvertes pour les migrants, brassage ethnique, réforme de la famille, facilité du divorce, multiplicité des genres, mariage pour tous, PMA, GPA, abaissement de l’âge de la responsabilité sexuelle, inversion des valeurs, relativisme, nihilisme, révision des programmes scolaires…

    Walter Hallstein, (1901-1982), est une autre personnalité controversée.

    Cet Allemand a été nommé premier président de la Commission européenne. Mais son parcours n’est pas anodin.

     

    Sous le IIIe Reich, ce juriste et professeur d’Université appartient à diverses organisations professionnelles nazies, sans toutefois être membre du parti. Il est conseiller d’Hitler, travaillant à son concept de Nouvelle Europe.

    Capturé à Cherbourg en 1944, il est envoyé dans un camp de prisonniers aux Etats-Unis.

    Il en revient et mène une carrière politique au sein de la CDU, Chrétiens-Démocrates.

    En 1950, sous Konrad Adenauer, il fait partie de la délégation allemande négociant la création de la Communauté Européenne du Charbon et de l’Acier. Là, il rencontre un des « Pères fondateurs », Jean Monnet.

     

    En 1951, il est Secrétaire d’Etat aux affaires étrangères dans le gouvernement Adenauer.

    Hallstein devient le premier président de la Commission européenne de 1958 à 1967 et se déclare partisan d’une Europe fédérale.

    Limogé sous la pression de De Gaulle, il est remplacé par Jean Rey, avocat, homme politique belge, (1902-1983).

    Hallstein termine sa carrière au sein de la CDU comme député de 1969 à 1972.

     

    Il est également président du Mouvement européen fondé en 1948.

    Robert Schuman, Paul-Henri Spaak, autres dirigeants du Mouvement européen, auraient été directement financés par la CIA, au travers des fondations Ford et Rockefeller.

    C’est du moins ce que rapporte l’historien américain Richard J Aldrich, né en 1961.

    Ainsi, l’Europe, telle qu’on nous la présente, n’est pas une réelle émanation de la volonté populaire, mais la réalisation secrète, d’un projet politique pensé, créé, exécuté par des apprentis sorciers appartenant à une élite de droit divin.

     

    Nous sommes le Mindervertige cher au comte Richard Nikolaus Eijiro von Coudenhove-Kalergi, c’est-à-dire la RACE INFÉRIEURE. Nous vivons le génocide programmé des Nations européennes.

    Les bizarreries de la politique d’immigration relevées depuis des décennies, les atteintes portées à la famille, notamment la famille nombreuse, l’introduction absurde de la théorie du genre, allègement sélectif des programmes d’histoire, la diabolisation systématique de tout ce qui participe du sentiment patriotique, tous ces faits démontrent la réalisation point par point, de l’alpha à l’oméga, d’un plan vieux de quatre vingt dix ans.

     

    Les technocrates de Bruxelles, les journaleux et les politiciens européistes crient au racisme et au fascisme, alors qu’ils sont les véritables racistes et fascistes.

    Le « praktischer idealismus » du père de l’Union européenne Kalergi est éloquent.

    Il parle de lui-même et révèle les enjeux historiques réels, les buts avérés de l’engeance dirigeante.

     

    Jean Saunier

    « Le mythe de la libération américaine de la FranceLe secret maçonnique »