• Macron et les francs maçons

     Image Le signe maçonnique du FM Macron

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    Le jour de son intronisation ,Macron marche en solitaire vers la pyramide du Louvre,symbole par excellence de la maçonnerie.

    Avant d'être président,Macron était banquier d'affaires chez les Rothschild,nés Bauer.

    Or,plusieurs membres de cette famille bancaire d'origine talmudique étaient membres de la franc maçonnerie.

    (Voir le dictionnaire de la franc maçonnerie de Daniel Ligou)

     

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    Macron en visite chez le pape argentin Bergolio , jésuite  et co-frère de Macron formé par les jésuites (D'où le tutoiement de Macron avec le pape).On trouve beaucoup de francs macs chez les jésuites.Notons que les "illuminés de Bavière"qui ont infiltré la franc maçonnerie ont été fondés par le jésuite: Adam Weishaupt

     

    Les mystères de la franc-maçonnerie révélés par la caricature (1850-1942) -  Eric Van Den Abeele - Luc Pire - Grand format - Place des Libraires

     

     Vous ne le saviez probablement pas, mais certains réseaux francs-maçons font visiblement appel à des tueurs. L'un d'entre eux est récemment sorti du silence, rapporte Le Parisien dans une longue enquête.

     

     Le candidat Macron avait planché rue Cadet,siège du grand orient, en juin 2016, et séduit bon nombre de francs-maçons.

     

    Quelle est la vraie nature des liens entre Alexandre Benalla, membre de la loge des Chevaliers de l’Espérance à la Grande Loge Nationale Française (GLNF), et le conseiller d’Emmanuel Macron, bientôt exfiltré, Ismaël Emelien, formé à l’école très maçonnique de Stéphane Fouks (tendance Grand Orient), chez Havas? Comment comprendre les pluies de contrats que signe l’ancien garde du corps, son amitié avec l’affairiste Alexandre Djouhri, réfugié à Londres, comme avec Philippe Solomon, qui l’a introduit auprès de plusieurs chefs d’Etats africains francs-maçons? Dans un tout autre registre, pourquoi une telle férocité dans la lutte de pouvoir entre Denis Kessler (Scor) et Thierry Derez (Covéa), qui fait écho à la bataille qu’avait conduite François Pérol pour fusionner les Banques Populaires et les Caisses d’Epargne et prendre la présidence? Au même titre qu’EDF, les entreprises du BTP, de distribution d’eau et toutes celles qui maillent le territoire, les mutuelles sont des repaires de « frères trois points ». Au siège de BPCE, les bornes directionnelles sont des triangles maçons, selon la volonté de Charles Milhaud, ex-président des Caisses d’Epargne évincé par Pérol, qui est tout sauf franc-maçon ! Et pourquoi les jeux de pouvoir à EDF et à la Caisse des dépôts entretiennent-ils le soupçon ? « Parce que les francs-maçons y ont eu de l’importance », témoigne un homme de réseaux passé par les deux entreprises, l’ex-journaliste Etienne Bertier, lui-même soupçonné, à tort promet-il, d’être « initié ». Il est aujourd’hui au service du Tchèque Daniel Kretinsky, l’homme qui rachète des pans entiers de la presse française.

     

     

     Chaque fois qu’une décision  est prise dans le monde des affaires, on peut suspecter qu’il y a solidarité maçonnique , affirme le conseiller du tout-Paris du business, Alain Minc . On estime aujourd'hui qu'il y a 180 000 membres, réunis dans une vingtaine d’obédiences, où élus locaux, médecins, petits patrons, avocats, enseignants, policiers et militaires sont surreprésentés. La plupart entrent dans ce  système mafieux d pour obtenir des contrats, favoriser sa carrière, voire faire sauter des PV ou décrocher un rendez-vous chez un spécialiste.Sans compter les maçons  dans le big business,la pieuvre économique.

     

    C’est en 2014, lors de l’éviction d’Henri Proglio de la présidence d’EDF, que Macron a mesuré le poids des frères dans la sphère économique. François Hollande avait exigé de Manuel Valls qu’il avertisse l’intéressé moins d’une demi-heure avant la tenue du conseil des ministres. Pour empêcher son chef de gouvernement, avec Proglio et d’autres, de monter au front. Pris de vitesse, le réseau maçon réclame aussitôt… compensation. Directeur de cabinet de Jean-Yves Le Drian à la Défense, Cédric Lewandowski pousse Proglio pour la présidence de Thales. Hollande cède, contre l’avis de Macron, son ministre de l’Economie, qui en fait un casus belli et oblige Proglio à renoncer. Elu président, Macron prend le mors aux dents lorsqu’il apprend que Lewandowski, adoubé par François Roussely comme futur parrain des réseaux maçons dans le monde des affaires, cherche à être nommé patron de la DGSE. Muté au Quai d’Orsay, Le Drian est prié de se séparer de son directeur de cabinet, renvoyé à EDF. Celui-ci est toujours dans le collimateur : la ministre des Armées, Florence Parly, l’empêche de participer à des colloques organisés à l’Ecole militaire !

     

    Les  frères trois points,ou les "frères la gratouille" comme les appelait François Mitterrand) ont beaucoup contribué à  l'arrivée au pouvoir de Macron avec notamment le soutien de François Patriat, Gérard Collomb et Richard Ferrand. Sa campagne, ni droite ni gauche, cherchait à « réunir ce qui est épars », un dogme de la loi maçonnique. Sa tenue blanche fermée  au grand temple de la rue Cadet (Grand Orient) avait été appréciée. Les maçons avaient été séduits par sa jeunesse et la promesse d’un « pacte girondin », d’une décentralisation heureuse, d’une décrispation générale. Et ils avaient appelé à voter en masse contre Marine Le Pen. La victoire acquise, de nombreux frères, assistant à l’intronisation du nouveau président devant la pyramide du Louvre, ont même vu qu’il était des leurs, tant l’allusion était évidente…

     

     

    Ils ont été confortés, après l’élection, par la formation d’un gouvernement très maçon-compatible, avec des frères revendiqués, comme Gérard Collomb, Jean-Yves Le Drian ou Jacques Mézard (nommé le 14 février au Conseil constitutionnel) et des proches : le père d’Edouard Philippe est un éminent maçon, comme celui de Marlène Schiappa. Autres ministres femmes en sympathie avec la mouvance : Muriel Pénicaud et Agnès Buzyn. Quant à Jean-Michel Blanquer, il revendique sa proximité : invité au dîner annuel de la Grande Loge de France, il a souligné ses « convergences avec les valeurs maçonniques ».

     

    Un nouveau roi constiutionnel à l'Elysée ?

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    La désillusion n’en fut que plus brutale pour de nombreux maçons, choqués par les choix royaux

    du chef de l’Etat au cours de la première année de son mandat et par son cléricalisme supposé. La rupture s’est approfondie au printemps 2018 quand Macron a prononcé son discours devant le collège des Bernardins dans lequel il a assuré vouloir « réparer » le lien « abîmé » entre l’Eglise et l’Etat. Bronca générale des maçons laïcards. « On attend un président, on entend un sous-curé », a commenté Jean-Luc Mélenchon, maçon depuis 1985. Le toilettage programmé de la loi de 1905 ajoute aux inquiétudes des frères de toutes obédiences, qui demeurent opposées à l’idée de toucher à ce texte symbolique. Alors que, pour Macron, si l’Etat est laïc, la société ne l’est pas.

     

    Mais les fleurets sont désormais mouchetés. Un frère de rang élevé confie qu’en conduisant Emmanuel Macron à changer de politique, à reprendre langue avec les corps intermédiaires, les « gilets jaunes » lui ont permis de renouer avec les francs-maçons qui s’étaient éloignés, comme Gérard Collomb et Xavier Bertrand. 

     

     

     

    « Bernard Tapie ou une saga de francs macsFranc maçonnerie et féminisme »